Apres 28 jours de détention dans les locaux des services de renseignement et de la prison centrale de Bamako, Boukary Daou, directeur de publication du journal Le Républicain a été remis en liberté provisoire ce mardi par un tribunal de Bamako.
Le journaliste a donc pu regagner sa famille. Ses confrères de la presse qui ont mis en place un comité de crise suite à son incarcération, saluent cette décision de la justice malienne. Mahamane Hamèye Cissé, le président du comité de crise, parle d’étape importante pour la suite des évènements.
Oui il y aura bien une suite à cette affaire. L’audience de comparution du journaliste est fixée au 16 avril prochain. Boukary Daou reste en effet accusé d’incitation au crime et au délit, et de publication de fausses nouvelles. Cela après la publication d’une lettre de soldats maliens mettant en cause les avantages financiers accordés au capitaine Sanogo.
Il risque jusqu’à 3 ans de prison s’il est reconnu coupable. Mais Hameye Cissé se dit confiant car cette liberté provisoire est synonyme de première victoire pour la presse malienne. « Le droit prévaut et nous obtiendrons gain de cause », soutient M HameyeCissé.
Boukary Daou a pour sa part salué cette mobilisation et cette solidarité de la presse malienne qui l’ont réconforté en prison.
Le journaliste a donc pu regagner sa famille. Ses confrères de la presse qui ont mis en place un comité de crise suite à son incarcération, saluent cette décision de la justice malienne. Mahamane Hamèye Cissé, le président du comité de crise, parle d’étape importante pour la suite des évènements.
Oui il y aura bien une suite à cette affaire. L’audience de comparution du journaliste est fixée au 16 avril prochain. Boukary Daou reste en effet accusé d’incitation au crime et au délit, et de publication de fausses nouvelles. Cela après la publication d’une lettre de soldats maliens mettant en cause les avantages financiers accordés au capitaine Sanogo.
Il risque jusqu’à 3 ans de prison s’il est reconnu coupable. Mais Hameye Cissé se dit confiant car cette liberté provisoire est synonyme de première victoire pour la presse malienne. « Le droit prévaut et nous obtiendrons gain de cause », soutient M HameyeCissé.
Boukary Daou a pour sa part salué cette mobilisation et cette solidarité de la presse malienne qui l’ont réconforté en prison.