Arrêté à Saint-Louis pour détention illégale d’armes, Malick Noël Seck a été envoyé en prison avec ses camarades d’infortune. Son procès fixé au 8 mars ne le trouvera pas toutefois en prison puisqu’il a bénéficié d’une liberté provisoire ce lundi 5 mars. Mais le jeune socialiste n’a pu voter le 26 février car il était sous les liens de la prévention.
Néanmoins, il a suivi religieusement le déroulement du scrutin avec ses codétenus. Malick Noël Seck s’attendait à ce qu’Abdoulaye Wade reçoive une raclée, mais grande a été sa surprise quand il a appris que le pape du sopi a droit à une carte à jouer au second tour. « je me demandais d’où sortaient les électeurs qui ont voté pour Wade. J’étais vraiment surpris, car les sénégalais avaient montré à Wade qu’ils ne voulaient plus de lui », regrette le leader de Convergence socialiste qui s’ouvre une brèche pour expliquer une telle situation. « Mais malheureusement, avec la situation actuelle du pays, les gens ont vendu leurs cartes d’électeurs pour satisfaire leurs besoins », plaide Noël Seck qui peut s’estimer heureux de pouvoir voter le mars prochain. S’il n’est pas à nouveau arrêté pour un autre grief.
Néanmoins, il a suivi religieusement le déroulement du scrutin avec ses codétenus. Malick Noël Seck s’attendait à ce qu’Abdoulaye Wade reçoive une raclée, mais grande a été sa surprise quand il a appris que le pape du sopi a droit à une carte à jouer au second tour. « je me demandais d’où sortaient les électeurs qui ont voté pour Wade. J’étais vraiment surpris, car les sénégalais avaient montré à Wade qu’ils ne voulaient plus de lui », regrette le leader de Convergence socialiste qui s’ouvre une brèche pour expliquer une telle situation. « Mais malheureusement, avec la situation actuelle du pays, les gens ont vendu leurs cartes d’électeurs pour satisfaire leurs besoins », plaide Noël Seck qui peut s’estimer heureux de pouvoir voter le mars prochain. S’il n’est pas à nouveau arrêté pour un autre grief.