Un bateau transportant des migrants a fait naufrage entre Malte et la Sicile, selon la marine italienne qui a dépêchée sur place des hélicoptères et des bateaux de secours. 200 personnes auraient été jetées à la mer.
Selon l'agence italienne Ansa, des corps auraient été aperçus aux abords de l'embarcation. "Il s'agit d'un naufrage dans les eaux territoriales maltaises. Nous apportons notre aide aux autorités de Malte. On ne sait pas encore s'il y a des morts", a déclaré pour sa part à l'AFP Filippo Marini, commandant des garde-côtes italiens.
Dans la nuit de jeudi à vendredi déjà, plus de 500 migrants ont été secourus dans le canal de Sicile au cours de plusieurs opérations distinctes coordonnées par les garde-côtes italiens.
Par ailleurs, le bilan provisoire du naufrage d'un bateau de pêche au large de l'île, proche, de Lampedusa, le 3 octobre, est monté à 328 victimes vendredi, 17 corps ayant été repêchés en mer par les plongeurs. Le navire transportait plus de 500 réfugiés, en majorité érythréens et seuls 155 ont survécu au drame. Selon le Haut commissariat de l'Onu pour les réfugiés (HCR), "entre 50 et 70 corps se trouveraient encore en mer", autour de l'île.
Selon l'agence italienne Ansa, des corps auraient été aperçus aux abords de l'embarcation. "Il s'agit d'un naufrage dans les eaux territoriales maltaises. Nous apportons notre aide aux autorités de Malte. On ne sait pas encore s'il y a des morts", a déclaré pour sa part à l'AFP Filippo Marini, commandant des garde-côtes italiens.
Dans la nuit de jeudi à vendredi déjà, plus de 500 migrants ont été secourus dans le canal de Sicile au cours de plusieurs opérations distinctes coordonnées par les garde-côtes italiens.
Par ailleurs, le bilan provisoire du naufrage d'un bateau de pêche au large de l'île, proche, de Lampedusa, le 3 octobre, est monté à 328 victimes vendredi, 17 corps ayant été repêchés en mer par les plongeurs. Le navire transportait plus de 500 réfugiés, en majorité érythréens et seuls 155 ont survécu au drame. Selon le Haut commissariat de l'Onu pour les réfugiés (HCR), "entre 50 et 70 corps se trouveraient encore en mer", autour de l'île.