Ces évènements ont d’ailleurs conduit à l’adoption d’une Loi de finances rectificative en mai 2022, afin de procéder à des réorientations et ajustements, indispensables pour atténuer l’impact de ces chocs sur les populations.
Ces politiques de soutien au pouvoir d’achat des ménages, traduites notamment par l’augmentation des subventions aux produits énergétiques et alimentaires, l’impact de la revalorisation des salaires des agents de la Fonction publique, ont fortement pesé sur les finances publiques. Surtout, qu’elles ont été accompagnées de mesures de renoncement à des recettes fiscales.
Ces mesures étaient, toutefois, nécessaires pour maintenir les équilibres budgétaires. « Nous pouvons cependant nous réjouir de constater que le budget a été exécuté dans de bonnes conditions avec un taux d’engagement de 95,7% et d’ordonnancement de 95,4%, grâce à une bonne maitrise des procédures sur toute la chaine de dépenses. Pour vous donner l’ampleur des transactions, il faudra noter qu’en termes de nombre, pour cette année, ce n’est pas moins de 88 000 bons d’engagement qui ont été émis et pris en charge à 97,8% », a expliqué le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Bâ.
Aujourd’hui, retient-il, la déconcentration de l’ordonnancement des dépenses est aussi devenue un processus totalement maîtrisé, tant au niveau central qu’au niveau déconcentré, comme le confirment les évaluations qui ont été faites en cours d’année. « Toutefois, ils subsistent quelques contraintes et difficultés, sur lesquelles, nous échangerons ce matin pour assurer une meilleure fluidité de la dépense, dans le cadre de ce présent atelier, qui, à l’image de celles qui l’ont précédées, se veut d’abord et avant tout, un moment de dialogue et de partage avec les principaux acteurs impliqués dans le processus d’exécution des dépenses de l’Etat. C’est ainsi, seulement que nous pourrons nous enrichir mutuellement et relever, ensemble, les défis de l’efficience et de l’efficacité de la dépense publique, attachés à la mise en œuvre des budgets programmes », indique-t-il.
Ces politiques de soutien au pouvoir d’achat des ménages, traduites notamment par l’augmentation des subventions aux produits énergétiques et alimentaires, l’impact de la revalorisation des salaires des agents de la Fonction publique, ont fortement pesé sur les finances publiques. Surtout, qu’elles ont été accompagnées de mesures de renoncement à des recettes fiscales.
Ces mesures étaient, toutefois, nécessaires pour maintenir les équilibres budgétaires. « Nous pouvons cependant nous réjouir de constater que le budget a été exécuté dans de bonnes conditions avec un taux d’engagement de 95,7% et d’ordonnancement de 95,4%, grâce à une bonne maitrise des procédures sur toute la chaine de dépenses. Pour vous donner l’ampleur des transactions, il faudra noter qu’en termes de nombre, pour cette année, ce n’est pas moins de 88 000 bons d’engagement qui ont été émis et pris en charge à 97,8% », a expliqué le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Bâ.
Aujourd’hui, retient-il, la déconcentration de l’ordonnancement des dépenses est aussi devenue un processus totalement maîtrisé, tant au niveau central qu’au niveau déconcentré, comme le confirment les évaluations qui ont été faites en cours d’année. « Toutefois, ils subsistent quelques contraintes et difficultés, sur lesquelles, nous échangerons ce matin pour assurer une meilleure fluidité de la dépense, dans le cadre de ce présent atelier, qui, à l’image de celles qui l’ont précédées, se veut d’abord et avant tout, un moment de dialogue et de partage avec les principaux acteurs impliqués dans le processus d’exécution des dépenses de l’Etat. C’est ainsi, seulement que nous pourrons nous enrichir mutuellement et relever, ensemble, les défis de l’efficience et de l’efficacité de la dépense publique, attachés à la mise en œuvre des budgets programmes », indique-t-il.