Deux surveillants de la Maison d’arrêt et de correction de Matam sont sous les verrous pour avoir violenté un détenu de confiance. A en croire l’As, les deux matons qui ont comparu hier au tribunal des flagrants délits de Matam devront être fixés sur leur sort le 28 février prochain.
S’ils sont passés de gardes pénitentiaires au statut de détenus, c’est parce qu’ils auraient pris à partie un prisonnier à qui ils ont demandé de les accompagner pour des travaux d’intérêt public. Ce que ce dernier a refusé à la suite d’échanges de propos aigres doux.
Selon l’As, pris de colère, l’incarcéré frappa à l’aide d’un bâton l’un des surveillants qui tomba sur le coup. Son collègue court chercher de l’aide et ainsi le prévenu est maitrisé.
Coup de théâtre, lorsque l’affaire atterrit à la gendarmerie, le substitut du procureur demande aux gendarmes de présenter le détenu à une structure de santé. D’où il se fera délivrer un certificat médical d’une incapacité temporaire de 15 jours. Les matons sont inculpés pour coups et blessures volontaires et placés sous mandat de dépôt.
L’affaire qui passait devant le tribunal a été renvoyé au 28 février prochain. Leur demande de mise en liberté provisoire étant rejetée, les deux prévenus devront séjourner dans les mêmes locaux que ceux qu’ils surveillaient.
S’ils sont passés de gardes pénitentiaires au statut de détenus, c’est parce qu’ils auraient pris à partie un prisonnier à qui ils ont demandé de les accompagner pour des travaux d’intérêt public. Ce que ce dernier a refusé à la suite d’échanges de propos aigres doux.
Selon l’As, pris de colère, l’incarcéré frappa à l’aide d’un bâton l’un des surveillants qui tomba sur le coup. Son collègue court chercher de l’aide et ainsi le prévenu est maitrisé.
Coup de théâtre, lorsque l’affaire atterrit à la gendarmerie, le substitut du procureur demande aux gendarmes de présenter le détenu à une structure de santé. D’où il se fera délivrer un certificat médical d’une incapacité temporaire de 15 jours. Les matons sont inculpés pour coups et blessures volontaires et placés sous mandat de dépôt.
L’affaire qui passait devant le tribunal a été renvoyé au 28 février prochain. Leur demande de mise en liberté provisoire étant rejetée, les deux prévenus devront séjourner dans les mêmes locaux que ceux qu’ils surveillaient.