Devant livrer ses maisons depuis trois(3) ans à ses attributaires, la Sicap fait vivre un véritable calvaire à ceux-ci qui ont rejoint leurs maisons en location vente. Sans eau, ni électricité, ils vivent un supplice. S’y ajoute une insécurité qui fait que les populations ont une peur bleue de mettre le nez dehors une fois la nuit tombée. A voir les charretiers emprunter les ruelles du quartier avec des fûts d’eau dont l’origine douteuse provoque souvent la diarrhée des enfants.
Texte l’As.
Texte l’As.