‘’Si les inondations persistent, on peut être amené à déplacer les populations vers d’autres zones plus habitables tels que le lac Rose par exemple’’, a indiqué M. Ndiaye au sortir de la deuxième réunion du plan d’Organisation des secours (ORSEC), déclenché suite à la recrudescence des inondations entrainées par les pluies du week-end dernier.
‘’Dans 60 à 80 % des cas, on peut avoir des solutions par l’assainissement. Si ce n’est pas possible, on va les redéployer’’, a-t-il précisé, soulignant que, pour l’heure, la priorité c’est de recaser, nourrir et reconstruire les infrastructures endommagées par les pluies.
Le survol de la région de Dakar par hélicoptère, mardi, a permis, selon M. Mbaye, de constater qu’’’il reste des zones inquiétantes auxquels il faut apporter des solutions très rapidement pour soulager les populations’’.
Le ministre de l’Intérieur a précisé que ‘’ l’objectif’’ de la seconde réunion du plan ORSEC visait à ‘’faire le bilan des dégâts causés par les inondations, d’une part, et de faire les estimations des budgets nécessaires au fonctionnement des différentes commissions du plan Orsec [d’autre part]‘’.
Faisant le bilan d’étape des ressources collectées, il a salué l’élan de solidarité constaté durant ces inondations. ‘’Je salue l’initiative des chaînes de télévision Sen Tv et Tfm qui ont organisé des téléthons’’, a-t-il notamment ajouté.
Une cérémonie de reversement à l’Etat de tous les fonds recueillis est selon M. Ndiaye prévue samedi prochain.
‘’Nous les remercions. Il y avait un quiproquo au début, mais juridiquement personne d’autre que l’Etat n’a le droit d’organiser un téléthon’’, a-t-il toutefois rappelé.
Le Sénégal fait face depuis dimanche dernier à d’importantes inondations, notamment dans les villes de Dakar et Touba, suite à d’importantes précipitations.
Après plusieurs pertes en vies humaines et de nombreux dégâts, les autorités ont annoncé le même jour le déclenchement du plan ORSEC.
Il ‘’consiste en la mise en œuvre de structures de gestion, de prise en charge à travers un état-major de commandement, de coordination et de suivi de l’ensemble des opérations propres à neutraliser ou à anéantir toute menace contre les citoyens et leurs biens en matière d’inondations ou de catastrophes’’, selon le ministre de l’Intérieur.
‘’Dans 60 à 80 % des cas, on peut avoir des solutions par l’assainissement. Si ce n’est pas possible, on va les redéployer’’, a-t-il précisé, soulignant que, pour l’heure, la priorité c’est de recaser, nourrir et reconstruire les infrastructures endommagées par les pluies.
Le survol de la région de Dakar par hélicoptère, mardi, a permis, selon M. Mbaye, de constater qu’’’il reste des zones inquiétantes auxquels il faut apporter des solutions très rapidement pour soulager les populations’’.
Le ministre de l’Intérieur a précisé que ‘’ l’objectif’’ de la seconde réunion du plan ORSEC visait à ‘’faire le bilan des dégâts causés par les inondations, d’une part, et de faire les estimations des budgets nécessaires au fonctionnement des différentes commissions du plan Orsec [d’autre part]‘’.
Faisant le bilan d’étape des ressources collectées, il a salué l’élan de solidarité constaté durant ces inondations. ‘’Je salue l’initiative des chaînes de télévision Sen Tv et Tfm qui ont organisé des téléthons’’, a-t-il notamment ajouté.
Une cérémonie de reversement à l’Etat de tous les fonds recueillis est selon M. Ndiaye prévue samedi prochain.
‘’Nous les remercions. Il y avait un quiproquo au début, mais juridiquement personne d’autre que l’Etat n’a le droit d’organiser un téléthon’’, a-t-il toutefois rappelé.
Le Sénégal fait face depuis dimanche dernier à d’importantes inondations, notamment dans les villes de Dakar et Touba, suite à d’importantes précipitations.
Après plusieurs pertes en vies humaines et de nombreux dégâts, les autorités ont annoncé le même jour le déclenchement du plan ORSEC.
Il ‘’consiste en la mise en œuvre de structures de gestion, de prise en charge à travers un état-major de commandement, de coordination et de suivi de l’ensemble des opérations propres à neutraliser ou à anéantir toute menace contre les citoyens et leurs biens en matière d’inondations ou de catastrophes’’, selon le ministre de l’Intérieur.
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