Ces derniers, en plus d’avoir emporté des bêtes, ont également égorgé et éventré des vaches inséminées qui étaient pourtant porteuses. Les éleveurs ont déversé toute leur bile sur la gendarmerie coupable d’inertie et surtout contre les services vétérinaires jugés complices de bouchers qui commercialisent de la viande sans que personne ne lève le plus petit doigt.
Des cas similaires à celui de Nguékokh sont fréquents dans la zone, puisqu’a Sindia, Diass et a Thiéo, c’est le même stratagème qui a fonctionné.
Ndiaganiao, Fissel et les localités environnantes ne sont pas non plus épargnés malgré la présence d’une brigade de gendarmerie à Ndiaganiao.
Autres difficultés rencontrées par les éleveurs, l’absence de corridors de pâturages a Diass, Kirene et leurs environs, les éleveurs ont décrié l’énormité de la surface occupée par l’aéroport international Blaise Diagne, à Sindia, Nguékokh et autres villages proches, c’est la réserve naturelle de Bandia qui est clouée au pilori. Selon les professionnels du bétail, la réserve a clôturé trois mille cinq cents (3500) hectares mais n’utilise que les mille cinq cents(1500).Les deux mille hectares(2000) restants sont touffus d’herbe mais les gérants s’opposent a toute ouverture de couloir pour en faire profiter le bétail.
Conséquence de toutes ces difficultés : des veaux issus de l’insémination artificielle meurent de faim. L’aliment de bétail, principal palliatif, est jugé très cher par les hommes du milieu.
Le tapis herbacé, objet de pâturage te de parcours du bétail se réduit de jour en jour a cause de l’urbanisation sauvage et incontrôlée a Mbour, Thiadiaye et Nguékokh.
Le fumage de poisson également n’épargne pas l’herbe.
Les bergers se rabattent sur les feuillages des arbres, ce qui peut causer la désertification.
A Peulgha, Keur Cheikh et Pointe Sarene, les lacs, mares et autres bassins artificiels ont tari. Des entrepreneurs véreux les ont pompés pour des constructions. Ailleurs a la Somone, Mbailling ou encore Warang, ils ont séché du fait tout simplement de leur coupure avec les sources d’approvisionnement.
Kanelnaajo(Petitecote.net)
Des cas similaires à celui de Nguékokh sont fréquents dans la zone, puisqu’a Sindia, Diass et a Thiéo, c’est le même stratagème qui a fonctionné.
Ndiaganiao, Fissel et les localités environnantes ne sont pas non plus épargnés malgré la présence d’une brigade de gendarmerie à Ndiaganiao.
Autres difficultés rencontrées par les éleveurs, l’absence de corridors de pâturages a Diass, Kirene et leurs environs, les éleveurs ont décrié l’énormité de la surface occupée par l’aéroport international Blaise Diagne, à Sindia, Nguékokh et autres villages proches, c’est la réserve naturelle de Bandia qui est clouée au pilori. Selon les professionnels du bétail, la réserve a clôturé trois mille cinq cents (3500) hectares mais n’utilise que les mille cinq cents(1500).Les deux mille hectares(2000) restants sont touffus d’herbe mais les gérants s’opposent a toute ouverture de couloir pour en faire profiter le bétail.
Conséquence de toutes ces difficultés : des veaux issus de l’insémination artificielle meurent de faim. L’aliment de bétail, principal palliatif, est jugé très cher par les hommes du milieu.
Le tapis herbacé, objet de pâturage te de parcours du bétail se réduit de jour en jour a cause de l’urbanisation sauvage et incontrôlée a Mbour, Thiadiaye et Nguékokh.
Le fumage de poisson également n’épargne pas l’herbe.
Les bergers se rabattent sur les feuillages des arbres, ce qui peut causer la désertification.
A Peulgha, Keur Cheikh et Pointe Sarene, les lacs, mares et autres bassins artificiels ont tari. Des entrepreneurs véreux les ont pompés pour des constructions. Ailleurs a la Somone, Mbailling ou encore Warang, ils ont séché du fait tout simplement de leur coupure avec les sources d’approvisionnement.
Kanelnaajo(Petitecote.net)
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