« L’application de l’article 318 du Code pénal pose problème. Nous ne posons pas le débat de l’homosexualité, mais disons quand même que notre société s’est aménagé des garde-fous. Nous avons des incriminations comme l’attentat à la pudeur, l’attentat aux bonnes mœurs qui font qu’aucun citoyen ne peut commettre certains actes en public. Nous avons des mesures qui permettent de préserver la morale publique », a notifié l’Avocat et président de la Ldsh dans L’Observateur repris par Setal.net. Et de pester « Si des citoyens prennent la responsabilité de commettre en privé, dans une intimité ou dans un domicile des faits, nous pensons ^pas ces faits puissent se revêtir d’un caractère de publicité pour aboutir à une condamnation de cette nature. S’il n’y avait pas la bagarre, personne ne serait au courant de ce qui s’est passé ce jour-là. C’est pourquoi, nous avons pensé également que l’article 318 doit être concilié avec des droits garantis par la Constitution à savoir le droit à la vie privé, le droit à l’intimité ». Et de conclure, « Il serait judicieux de rouvrir le dossier de Tamsir pour poser le débat sur l’ article 318 du Code pénal.
Me Assane Dioma Ndiaye: « Il est judicieux d’ouvrir le dossier de Tamsir »
SETAL.NET - Pour Me Assane Dioma Ndiaye de la Ldsh, l’article 318 évoqué dans le procès de Jupiter Tamsir Ndiaye pose problème. Et de soutenir, qu’il est judicieux de rouvrir le dossier de Jupiter.
Claude André Coly
Samedi 3 Novembre 2012 12:41
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