Réagissant à la mesure prise par les ministres de la Justice des deux pays, notamment Sidiki Kaba et Jean Bernard Padaré, Me Diouf lâche. « C’est non seulement une manière d’humilier Hissène Habré, mais encore, c’est une violation de ses droits. Ces deux gouvernements ont montré que mon client ne peut pas bénéficier d’un non-lieu. D’autant que les véritable criminels sont en liberté ».
Pour l’avocat, Hissène Habré n’a rien à se reprocher. Mais, poursuit-il « Me Sidiki Kaba, ministre de la Justice, étant toujours l’avocat des « victimes » d’Habré, il veut toujours la tête de mon client, qu’il a d’ailleurs qualifié de « bourreau », apprend t-on de la Tribune.
Pour l’avocat, Hissène Habré n’a rien à se reprocher. Mais, poursuit-il « Me Sidiki Kaba, ministre de la Justice, étant toujours l’avocat des « victimes » d’Habré, il veut toujours la tête de mon client, qu’il a d’ailleurs qualifié de « bourreau », apprend t-on de la Tribune.