En 1988, le Khalif général des mourides d’alors avait donné un « ndigueul » pour le candidat Abdou Diouf. Ce film est réactualisé et diffusé en boucle par deux chaines de télévisions par l’entremise du ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang.
Une diffusion fustigée par la famille de feu Cheikh Abdoul Ahad Mbacké qui y décèle une tentative de manipulation de la communauté mouride orchestrée par le régime en place. Selon un des petits-fils de l’homme de Dieu, c’est pour semer la confusion au sein de la communauté mouride, pour leur dire que ce n’est pas la première fois que le ndigueul est lancé, que la botte secret de Wade à Touba (Madické Niang) fait diffuser un tel film. Dans les colonnes du quotidien Enquête parcouru par Setal.net, Serigne Mbacké fait remarquer que « par ce geste, on essaie de salir la mémoire de notre grand-père ».
Mais ses héritiers ne se laisseront pas faire et mettent en garde les responsables de ces canaux par lesquels, le camp du pouvoir fait passer ce message. « Si vous le faites, vous êtes en train de sucer le sang du peuple sénégalais parce que l’argent avec lequel ce contrat est payé, c’est l’argent du contribuable », dénonce-t-il.
Une diffusion fustigée par la famille de feu Cheikh Abdoul Ahad Mbacké qui y décèle une tentative de manipulation de la communauté mouride orchestrée par le régime en place. Selon un des petits-fils de l’homme de Dieu, c’est pour semer la confusion au sein de la communauté mouride, pour leur dire que ce n’est pas la première fois que le ndigueul est lancé, que la botte secret de Wade à Touba (Madické Niang) fait diffuser un tel film. Dans les colonnes du quotidien Enquête parcouru par Setal.net, Serigne Mbacké fait remarquer que « par ce geste, on essaie de salir la mémoire de notre grand-père ».
Mais ses héritiers ne se laisseront pas faire et mettent en garde les responsables de ces canaux par lesquels, le camp du pouvoir fait passer ce message. « Si vous le faites, vous êtes en train de sucer le sang du peuple sénégalais parce que l’argent avec lequel ce contrat est payé, c’est l’argent du contribuable », dénonce-t-il.