Me Ndèye Fatou Touré, députée de la 11ème législature sortante, était en déplacement mardi dans la commune de Mbour, dans le cadre de la compagne pour les législatives.
"Nous voulons que le Sénégal se développe dans le cadre d'une politique énergétique, avec zéro délestage, pour que l'électricité, le gaz et toutes les autres énergies soient fournies de manière suffisante. Et c'est à notre portée", a-t-elle déclaré.
"Il y a une corrélation directe entre la fourniture de l'énergie et toute l'activité économique", a-t-elle fait valoir, soulignant que le mouvement Tekki, dirigé par l'économiste Mamadou Lamine Diallo, est une vision fondée sur des valeurs de respect de la parole donnée, adossées sur des principes et sur une méthode.
"L'un des piliers de notre méthode, c'est la concertation, mais nous avons aussi l'intention de prendre part activement à la direction des affaires du pays", a-t-elle déclaré.
Tekki, qui se présente comme un mouvement citoyen, veut participer à l'émergence de Sénégalais imprégnés de leurs devoirs, mais qui ont aussi conscience de leurs droits, à travers une gestion transparente des affaires de leur pays.
"Nous voulons promouvoir une bonne gouvernance, des institutions saines, capables de promouvoir des politiques et des programmes qu'il faut, pour sortir le Sénégal de l'extrême pauvreté, pour installer une sécurité alimentaire dans le pays, afin de faire en sorte qu'il y ait une santé pour tous, accessible et à des coûts raisonnables", a expliqué Me Ndèye Fatou Touré.
Elle a plaidé pour une égalité des sexes et une autonomisation des femmes qui, selon elle, jouent un rôle central dans le développement économique et social. Mme Touré a, de ce point de vue, appelé les autorités à travailler pour réduire considérablement la mortalité maternelle et infantile.
"Nous voulons que les enfants aillent également à l'école, aussi loin que possible, qu'ils aillent jusqu'à l'université, et nous voulons un système éducatif qui soit en adéquation avec les objectifs de développement économique et social, que la formation aussi soit en adéquation avec le système de production et avec l'emploi. C'est fondamental!", a-t-elle lancé.
"Nous voulons que le VIH/SIDA, le paludisme ou les autres maladies disparaissent. Nous ne voulons plus d'inondation dans ce pays", a-t-elle insisté.
"Nous voulons que le Sénégal se développe dans le cadre d'une politique énergétique, avec zéro délestage, pour que l'électricité, le gaz et toutes les autres énergies soient fournies de manière suffisante. Et c'est à notre portée", a-t-elle déclaré.
"Il y a une corrélation directe entre la fourniture de l'énergie et toute l'activité économique", a-t-elle fait valoir, soulignant que le mouvement Tekki, dirigé par l'économiste Mamadou Lamine Diallo, est une vision fondée sur des valeurs de respect de la parole donnée, adossées sur des principes et sur une méthode.
"L'un des piliers de notre méthode, c'est la concertation, mais nous avons aussi l'intention de prendre part activement à la direction des affaires du pays", a-t-elle déclaré.
Tekki, qui se présente comme un mouvement citoyen, veut participer à l'émergence de Sénégalais imprégnés de leurs devoirs, mais qui ont aussi conscience de leurs droits, à travers une gestion transparente des affaires de leur pays.
"Nous voulons promouvoir une bonne gouvernance, des institutions saines, capables de promouvoir des politiques et des programmes qu'il faut, pour sortir le Sénégal de l'extrême pauvreté, pour installer une sécurité alimentaire dans le pays, afin de faire en sorte qu'il y ait une santé pour tous, accessible et à des coûts raisonnables", a expliqué Me Ndèye Fatou Touré.
Elle a plaidé pour une égalité des sexes et une autonomisation des femmes qui, selon elle, jouent un rôle central dans le développement économique et social. Mme Touré a, de ce point de vue, appelé les autorités à travailler pour réduire considérablement la mortalité maternelle et infantile.
"Nous voulons que les enfants aillent également à l'école, aussi loin que possible, qu'ils aillent jusqu'à l'université, et nous voulons un système éducatif qui soit en adéquation avec les objectifs de développement économique et social, que la formation aussi soit en adéquation avec le système de production et avec l'emploi. C'est fondamental!", a-t-elle lancé.
"Nous voulons que le VIH/SIDA, le paludisme ou les autres maladies disparaissent. Nous ne voulons plus d'inondation dans ce pays", a-t-elle insisté.