Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Me Sidiki Kaba, a inauguré ce jeudi la maison de Justice de Dahra, la 18éme du genre, qui sera un lieu de dialogue, d’apaisement, des contentieux, à un stade plus accessible.
Me Sidiki Kaba s’est réjoui des efforts consentis par OSIWA (Open Society Initiative for West Africa) pour la réalisation de deux maisons de justice à Gossas, à Fatick et l’équipement de la maison de justice de Keur Massar. C’est une importance capitale, dit-il, d’implanter une maison de justice à Dahra, qui est une commune de plus de 30.000 habitants et qui réunit le marché hebdomadaire le plus important de la région où il ya une intense activité économique.
«Elle permet aux plus faibles, les démunis, d'avoir la possibilité de voir leur différend réglé sans qu’il ait à payer de l’argent», renchérit-il.
Parlant des évasions, il dira que ce n'est rien d’autre qu’un défaut de surveillance, un défaut de vigilance de ceux qui sont chargés d’assurer la surveillance et la sécurité des personnes. La surpopulation carcérale est une réalité à laquelle il faut apporter une réponse. «Nous avons de vieilles prisons, celle de Saint-Louis date de 1863, celle de Sédhiou de 1920 et a plus célèbre Rebeuss est de 1929. Elle devait avoir 600 places, mais il arrive qu’on y trouve plus de 2400. Le constat n’est pas suffisant, il faut agir», dit-il. Pour décanter cette situation, des sessions des chambres criminelles seront organisées pour apporter la réponse à cette surpopulation carcérale, l’alimentation sera améliorée. Il informe que l’Etat va procéder à un recrutement de magistrats pour que les dossiers ne durent plus en justice et une prison moderne de 1.500 places verra le jour à Sébikotane avec des standards internationaux qui seront respectés. Ce qui permet de respecter la dignité humaine.
Me Sidiki Kaba s’est réjoui des efforts consentis par OSIWA (Open Society Initiative for West Africa) pour la réalisation de deux maisons de justice à Gossas, à Fatick et l’équipement de la maison de justice de Keur Massar. C’est une importance capitale, dit-il, d’implanter une maison de justice à Dahra, qui est une commune de plus de 30.000 habitants et qui réunit le marché hebdomadaire le plus important de la région où il ya une intense activité économique.
«Elle permet aux plus faibles, les démunis, d'avoir la possibilité de voir leur différend réglé sans qu’il ait à payer de l’argent», renchérit-il.
Parlant des évasions, il dira que ce n'est rien d’autre qu’un défaut de surveillance, un défaut de vigilance de ceux qui sont chargés d’assurer la surveillance et la sécurité des personnes. La surpopulation carcérale est une réalité à laquelle il faut apporter une réponse. «Nous avons de vieilles prisons, celle de Saint-Louis date de 1863, celle de Sédhiou de 1920 et a plus célèbre Rebeuss est de 1929. Elle devait avoir 600 places, mais il arrive qu’on y trouve plus de 2400. Le constat n’est pas suffisant, il faut agir», dit-il. Pour décanter cette situation, des sessions des chambres criminelles seront organisées pour apporter la réponse à cette surpopulation carcérale, l’alimentation sera améliorée. Il informe que l’Etat va procéder à un recrutement de magistrats pour que les dossiers ne durent plus en justice et une prison moderne de 1.500 places verra le jour à Sébikotane avec des standards internationaux qui seront respectés. Ce qui permet de respecter la dignité humaine.