Pour le premier village visité par l’Observateur, il a été constaté en effet que la loi islamique y est appliquée dans toute sa rigueur, à quelques exceptions prés. Par exemple, dans ce village religieux situé à 15 kilomètres de Thiès, les fornicateurs reçoivent 100 coups de fouet comme le recommande l’Islam. A la veille du dernier Gamou, un tribunal islamique s’est réuni et 8 individus ont reçu chacun 100 coups de cravache. Les filles qui tombent enceintes en dehors du mariage, quittent le village. Après leur accouchement, elles reviennent pour s’amender. En outre, il est formellement interdit de fumer, de boire et d’écouter de la musique dans ce village.
A Médina Gounass, localité située dans le département de Vélingara, c’est à peu près les mêmes pratiquent qui y prévalent. Selon nos confrères, dans cette bourgade qui accueille tous les ans le « Daaka » (rassemblement religieux), le voile islamique est obligatoire et l’école française n’y a pas droit de cité.
Maïmounatou n’est pas en reste. Dans ce patelin de la région de Louga, tous les hommes observent les cinq prières quotidiennes à la mosquée. Toutes les femmes portent le voile islamique. Cependant, à l’opposé de Thiénaba, les infractions relatives à l’adultère ne sont pas réprimées selon la Charia. Les mains des voleurs ne sont pas non plus coupées. Mais ils en demandent l’autorisation à l’Etat du Sénégal. Dans ce village, renseigne l’Observateur, l’administration est totalement absente.
A Médina Gounass, localité située dans le département de Vélingara, c’est à peu près les mêmes pratiquent qui y prévalent. Selon nos confrères, dans cette bourgade qui accueille tous les ans le « Daaka » (rassemblement religieux), le voile islamique est obligatoire et l’école française n’y a pas droit de cité.
Maïmounatou n’est pas en reste. Dans ce patelin de la région de Louga, tous les hommes observent les cinq prières quotidiennes à la mosquée. Toutes les femmes portent le voile islamique. Cependant, à l’opposé de Thiénaba, les infractions relatives à l’adultère ne sont pas réprimées selon la Charia. Les mains des voleurs ne sont pas non plus coupées. Mais ils en demandent l’autorisation à l’Etat du Sénégal. Dans ce village, renseigne l’Observateur, l’administration est totalement absente.