Pape Alé Niang est déclaré persona non grata en Gambie par le président Gambien qui n’aurait pas aimé des propos tenus par le journaliste sénégalais sur les ondes de la Radio Liberté. Pis, Jammeh aurait demandé à ses hommes de mettre un terme à la vie du journaliste de 2STV si ce dernier met les pieds en Gambie. Des menaces de mort que des organisations de défense des droits de l’homme prennent au sérieux.
Ainsi, la Ligue sénégalaise des droits Humains, la Raddho et Amnesty international section Sénégal ont pondu hier un communiqué pour condamner, de la façon la plus ferme, les menaces proférées par Jammeh à l’encontre de Pape Alé Niang. Selon ces droit-de-l’hommistes, le journaliste ne fait que son travail. Aussi rappellent-ils à Jammeh que Pape Alé Niang est couvert par la liberté d’expression reconnue par la Constitution sénégalaise.
De ce fait, ils estiment que ce jalon supplémentaire de l’escalade de la violence enclenchée par le Président Yaya Jammeh prouve à suffisance que seules des sanctions politiques et économiques peuvent être de nature à le ramener à la raison.
Ainsi, la Ligue sénégalaise des droits Humains, la Raddho et Amnesty international section Sénégal ont pondu hier un communiqué pour condamner, de la façon la plus ferme, les menaces proférées par Jammeh à l’encontre de Pape Alé Niang. Selon ces droit-de-l’hommistes, le journaliste ne fait que son travail. Aussi rappellent-ils à Jammeh que Pape Alé Niang est couvert par la liberté d’expression reconnue par la Constitution sénégalaise.
De ce fait, ils estiment que ce jalon supplémentaire de l’escalade de la violence enclenchée par le Président Yaya Jammeh prouve à suffisance que seules des sanctions politiques et économiques peuvent être de nature à le ramener à la raison.