Historique ! Lionel Messi est devenu le premier joueur à remporter quatre fois le Ballon d'Or et à dépasser ainsi (à 25 ans !) les légendes vivantes que sont Johan Cruyff, Michel Platini ainsi que Marco van Basten. L'Argentin, qui avait déjà reçu cette récompense en 2009, 2010 et 2011, a reçu la distinction individuelle la plus prestigieuse pour un footballeur à Zurich, au siège de la Fifa.
"C'est incroyable que je reçoive ce prix une nouvelle fois et pour la quatrième fois de suite. Je voudrais partager ce prix avec tous mes coéqupiers du Barça et en particulier avec Andres (Iniesta) qui est ici avec moi. C'est une fierté pour moi que de pouvoir m'entraîner avec lui tous les jours", a déclaré Lionel Messi. "Je veux penser aussi ici à mes coéquipiers de la sélection argentine. Merci aux personnes qui ont voté pour moi, capitaines et entraîneurs de sélection. Merci à ma famille, à mes amis et évidemment à ma femme et mon fils qui est la meilleure chose qui me soit arrivée".
Une saison individuelle exceptionnelle
L’attaquant argentin du FC Barcelone avait déclaré peu avant que 2012 « n’avait pas été sa meilleure année ». « Parce que – et je le dis toujours – le plus important est de gagner des titres avec l’équipe, et on a eu (au FC Barcelone) de meilleures années (que 2012) ». En effet, s’il a connu une année civile exceptionnelle d’un point de vue individuel, terminant meilleur buteur de la Liga (avec 50 buts sur la saison 2011-12 !) et de la Ligue des champions pour la 4e fois d’affilée (14 buts) tout en continuant sur sa lancée au cours du second semestre avec une régularité exceptionnelle, Lionel Messi a pourtant connu une saison moins aboutie collectivement parlant.
Habitué aux trophées, son Barça a en effet dû laisser filer son titre de champion au rival historique du Real Madrid et la Ligue des champions à Chelsea, avec pour seul titre une Coupe d’Espagne remportée face au même Real. Certains avaient cru que ce faible bilan pourrait influencer les votants. Ce ne fut pas le cas.
Ronaldo et Iniesta impuissants
Derrière lui, Cristiano Ronaldo, bien sûr, et Andres Iniesta, un habitué des podiums, n'auront pas pu empêcher l'inévitable. Ces deux joueurs précieux, décisifs chacun à leur manière, qui ont évidemment de superbes atouts à faire valoir, ont sans doute la malchance inouïe d’être contemporains de l’extraterrestre argentin.
Probablement conscient qu’il devrait une nouvelle fois s’effacer devant le génie de son rival barcelonais, Cristiano Ronaldo, avait, avant la cérémonie, déjà fait savoir qu’il accepterait un échec sans trop de regrets. « J’adorerais le gagner, vraiment, ce Ballon d’Or. Mais la vie ne s’arrête pas à ça », avait-il déclaré. Andres Iniesta, qui aurait mérité de se voir honorer d’un premier Ballon d’or pour l'ensemble de sa carrière, avait lui annoncé: « Il n’y a pas besoin d’un prix pour savoir si tu fais les choses bien ou mal. Je n’ai pas besoin d’être reconnu spécialement par un prix ».
Del Bosque entraîneur de l'année
Peu avant ça, l'entraîneur de l'équipe nationale d'Espagne, Vicente del Bosque, a été désigné meilleur entraîneur de l'année 2012, devançant l'entraîneur portugais du Real Madrid José Mourinho et le tenant du trophée l'Espagnol Pep Guardiola, entraîneur du FC Barcelone. Le sélectionneur espagnol a réussi à décrocher avec la Roja le fameux doublé Coupe du Monde, en 2010, et l'Euro, en 2012.
Enfin, le jeune Slovaque Miroslav Stoch (Fenerbahçe), 23 ans, a remporté le trophée Ferenc Puskas 2012 désignant l'auteur du plus beau but de l'année. Le but de Stoch, une reprise de volée inscrite en championnat truc contre Gençlerbirligi, a été préféré à celui du Colombien Radamel Falcao (Atlético Madrid) et du Brésilien Neymar (Silva Santos).
Source: Lesoir.be
"C'est incroyable que je reçoive ce prix une nouvelle fois et pour la quatrième fois de suite. Je voudrais partager ce prix avec tous mes coéqupiers du Barça et en particulier avec Andres (Iniesta) qui est ici avec moi. C'est une fierté pour moi que de pouvoir m'entraîner avec lui tous les jours", a déclaré Lionel Messi. "Je veux penser aussi ici à mes coéquipiers de la sélection argentine. Merci aux personnes qui ont voté pour moi, capitaines et entraîneurs de sélection. Merci à ma famille, à mes amis et évidemment à ma femme et mon fils qui est la meilleure chose qui me soit arrivée".
Une saison individuelle exceptionnelle
L’attaquant argentin du FC Barcelone avait déclaré peu avant que 2012 « n’avait pas été sa meilleure année ». « Parce que – et je le dis toujours – le plus important est de gagner des titres avec l’équipe, et on a eu (au FC Barcelone) de meilleures années (que 2012) ». En effet, s’il a connu une année civile exceptionnelle d’un point de vue individuel, terminant meilleur buteur de la Liga (avec 50 buts sur la saison 2011-12 !) et de la Ligue des champions pour la 4e fois d’affilée (14 buts) tout en continuant sur sa lancée au cours du second semestre avec une régularité exceptionnelle, Lionel Messi a pourtant connu une saison moins aboutie collectivement parlant.
Habitué aux trophées, son Barça a en effet dû laisser filer son titre de champion au rival historique du Real Madrid et la Ligue des champions à Chelsea, avec pour seul titre une Coupe d’Espagne remportée face au même Real. Certains avaient cru que ce faible bilan pourrait influencer les votants. Ce ne fut pas le cas.
Ronaldo et Iniesta impuissants
Derrière lui, Cristiano Ronaldo, bien sûr, et Andres Iniesta, un habitué des podiums, n'auront pas pu empêcher l'inévitable. Ces deux joueurs précieux, décisifs chacun à leur manière, qui ont évidemment de superbes atouts à faire valoir, ont sans doute la malchance inouïe d’être contemporains de l’extraterrestre argentin.
Probablement conscient qu’il devrait une nouvelle fois s’effacer devant le génie de son rival barcelonais, Cristiano Ronaldo, avait, avant la cérémonie, déjà fait savoir qu’il accepterait un échec sans trop de regrets. « J’adorerais le gagner, vraiment, ce Ballon d’Or. Mais la vie ne s’arrête pas à ça », avait-il déclaré. Andres Iniesta, qui aurait mérité de se voir honorer d’un premier Ballon d’or pour l'ensemble de sa carrière, avait lui annoncé: « Il n’y a pas besoin d’un prix pour savoir si tu fais les choses bien ou mal. Je n’ai pas besoin d’être reconnu spécialement par un prix ».
Del Bosque entraîneur de l'année
Peu avant ça, l'entraîneur de l'équipe nationale d'Espagne, Vicente del Bosque, a été désigné meilleur entraîneur de l'année 2012, devançant l'entraîneur portugais du Real Madrid José Mourinho et le tenant du trophée l'Espagnol Pep Guardiola, entraîneur du FC Barcelone. Le sélectionneur espagnol a réussi à décrocher avec la Roja le fameux doublé Coupe du Monde, en 2010, et l'Euro, en 2012.
Enfin, le jeune Slovaque Miroslav Stoch (Fenerbahçe), 23 ans, a remporté le trophée Ferenc Puskas 2012 désignant l'auteur du plus beau but de l'année. Le but de Stoch, une reprise de volée inscrite en championnat truc contre Gençlerbirligi, a été préféré à celui du Colombien Radamel Falcao (Atlético Madrid) et du Brésilien Neymar (Silva Santos).
Source: Lesoir.be