Mais avant d’en arriver là, permettez-nous de vous mettre au courant du rebondissement noté dans l’enquête confiée à la section de Recherche de Dakar : la manière dont le français qui habitait à Ouakam a été exécuté par le vigile I. Ndiaye et son présumé complice.
Selon Libération parcouru par Setal.net, le français n’a pas été égorgé. D’après le Journal, les meurtriers ont fait pire. Ils l’ont tué par strangulation avec leurs ceintures. C’est d’abord le vigile qui enlève sa ceinture et le noue aux pieds de la victime.
Son complice enlevé sa ceinture à son tour et l’enroule autour du cou de François Gaillard dont les mains ont été assemblées et maitrisées par I. Ndiaye. Qui pouvait permettre ainsi au co-auteur du crime de tirer de toutes ses forces jusqu'à ce que Gaillard lâche son dernier soupir.
Un spectacle d’un autre âge auquel son fils âgé à peine de 7 ans a assisté, sans pouvoir faire quelque chose pour père
Selon Libération parcouru par Setal.net, le français n’a pas été égorgé. D’après le Journal, les meurtriers ont fait pire. Ils l’ont tué par strangulation avec leurs ceintures. C’est d’abord le vigile qui enlève sa ceinture et le noue aux pieds de la victime.
Son complice enlevé sa ceinture à son tour et l’enroule autour du cou de François Gaillard dont les mains ont été assemblées et maitrisées par I. Ndiaye. Qui pouvait permettre ainsi au co-auteur du crime de tirer de toutes ses forces jusqu'à ce que Gaillard lâche son dernier soupir.
Un spectacle d’un autre âge auquel son fils âgé à peine de 7 ans a assisté, sans pouvoir faire quelque chose pour père