Michelle Obama: «Oscar de la Renta a redonné confiance aux femmes»

SETAL.NET-La planète mode bruisse d’une émotion particulière, rassemblée autour de la disparition d’un créateur phare: Oscar de la Renta. Les plus grands ont rendu hommage à ce designer génial, à commencer par Michelle Obama, une première dame très émue lorsqu’elle l’évoque. Même pour les néophytes, Oscar de la Renta était synonyme de glamour, d’élégance, de chic ostentatoire. Un aller-simple pour le rêve offert sur tapis rouge en observant les créatures hollywoodiennes déambulées devant le flash des photographes. Entre prêt-à-porter ultra-féminin et haute couture vaporeuse, tout en volants, organza, fluidité et détails luxueux, le vestiaire du créateur dominicain n’avait de cesse de rendre hommage à la femme dans sa diversité. S’il habillait les célébrités, De la Renta était la référence des personnalités les plus influentes, à l’instar des premières dames. Sous le choc de sa disparition, Michelle Obama lui a rendu un hommage poignant. «Oscar de la Renta était un pionnier et un visionnaire qui a redonné confiance à des générations de femmes en leur permettant d’accepter enfin la plus belle partie d’elles-mêmes. Mes pensées et mes prières vont à sa famille.» FLOTUS, pourtant plus sensible au charme moderne de la jeune garde américaine – Jason Wu en tête – avait cédé récemment à la garde-robe du doyen US. Alors qu’elle organisait un atelier à la Maison Blanche plus tôt cette année, The Fashion Education Workshop, accueillant les plus grands designers, Michelle Obama avait choisi de porter pour la première fois une pièce signée Oscar de la Renta: une robe graphique bleu et noir aux emmanchures américaines. Oscar de la Renta, disparu à 82 ans après s’être battu durant dix années contre le cancer, laisse une marque indélébile sur la fashion sphère, séduisant les femmes les plus influentes des Etats-Unis, de Jackie O’ à Hillary Clinton, sans oublier Laura Bush et Michelle Obama. La dernière en date: une certaine Amal Alamuddin, désormais Madame Clooney à la ville, qui a choisi le (...)