Les besoins élémentaires de ce peuple, victime des gamineries au sommet de l’État, sont confinés à des années lumières. Au lieu de se consacrer sur le tort causé aux étudiants, aux enseignants privés de salaires, les tenants du pouvoir nous gratifient d’un conflit larvé dû à une crise aiguë de confiance entre Macky SALL et son premier ministre. Ces clivages portés sur des questions primaires, prouvent que cette gestion hasardeuse construite sur le mensonge, a abandonné cette population, au fur et à mesure abonnée à un repas par jour.
Le ramassis de promesses conjoncturelles engagé par le bricoleur politique de la présidence, ne fait hélas qu’étaler les tares de ce pilotage à vue. Pour tirer la couverture sur elle, la demoiselle Aminata TOURE s’est empressée de nager à contre-courant des rengaines avariées de son mentor qui affirmait un peu plus tôt que’’ le Yonnu Yokkuté ne permettaient pas de faire au Sénégal des bonds qualitatifs.’’ Au gré de ses aspirations égocentriques, celle qui ne camoufle plus ses ambitions suprêmes exhibera au grand public ses fissures, en attestant cinq jours plus tard que ‘’ mon carnet de route c'est de traduire la vision du Yonnu Yokkuté.’’
Il ressort de ce déphasage que cette déprimée n’est plus en mesure de faire fi de son égo surdimensionné. Au service de son agenda personnel, Aminata Touré abuse sournoisement de l’aveugle confiance de son mentor. Elle simule une subordination qui lui permet de ficeler dans l’ombre son armada politique avant d’amorcer définitivement son offensive.
Cette complicité artificielle de façade ne peut plus prospérer car l’action politique du gouvernement, relevant déjà de l’à-peu-près, est minée par des calculs politiques. Cette gouvernance aléatoire, associée à l’incompétence de cette désaxée qui n’a atteint aucun des objectifs qui lui étaient assignés, aura du mal à déployer ses ailes pour sortir le peuple de ce labyrinthe pernicieux. Toutes ces sorties sont synonymes de ratés langagiers. Sa carence cognitive conjuguée à son échec total à relancer l'économie en berne, contribue à assombrir l’image de ce gouvernement embourbé dans une impasse politico-juridique viciée.
Au seul profit de sa survie politique, elle a transformé la traque des biens mal acquis en un instrument de chantage politique dans l’unique dessein d'apparaitre comme la seule constante au sein du gouvernement, portant ainsi ombrage à son prédécesseur et même à son mentor, au point de figurer exagérément parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde. Sa conduite quotidienne à ce ministère a consisté à échafauder à des fins carriéristes des montages juridiques, incriminant ainsi mensongèrement sur des coups de tête les otages politiques du PDS dont le plus en vue est le frère Karim WADE. Ainsi elle réussira la prouesse de naufrager le système judiciaire dans une sphère partisane via un travestissement des rapports d’enquêtes.
Pour cette détraquée toute la politique gouvernementale se résume à une traque effrénée de ses concitoyens. Quand les étudiants manifestent il faut les traquer par une police universitaire, quand les enseignants réclament leurs droits il faut traquer ceux qui ont des salaires indus, quand les paysans sont abandonnés à leurs tristes sorts il faut traquer les opérateurs.
Ce qui laisse apparaitre des troubles psychologiques chez cette demoiselle aux quatre maris différents. Ce qui fut d’ ailleurs, la seule réussite de sa vie, vu est qu’elle a réussi en tant que femme, à s’essayer dans la polygamie car n’étant jamais rassasiée des œuvres de ces derniers. Ces perruques anachroniques à la James Brown ne font qu’exacerber le doute sur son handicap psychique. C’est vrai que lorsqu’une femme est en manque de sensation forte elle a toujours tendance à vouloir s’imposer. Même si sur le plan politique son apport est quasi inexistant.
Porté au fil du temps par l’appât de la drogue du pouvoir, cette décontenancée, en grosse manipulatrice, appuyée par des magistrats à sa solde, va même défier son premier ministre Abdoul MBAYE en refusant de recevoir les avocats d’Hisséne HABRE nonobstant les prescriptions de ce dernier. Au gré de sa volonté outrancière de domination, elle usera savamment de tous les stratagèmes pour enfoncer dans les flammes de l‘enfer son supérieur hiérarchique infantilisé, en paraphant la convention devant permettre la traduction en justice de l’ex dictateur Tchadien Hissène Habré. Même si cet acte discrétionnaire relevait du domaine de compétence du fessu Macky SALL, dorénavant sous l’emprise mentale de cette séductrice insidieuse.
Cet acte déloyal aura raison, suite à de fortes pressions, sur ce cambiste qui n’a aucun mérite à part d’être pistonné dans le milieu bancaire par l’un des plus véreux magistrats de l’histoire du Sénégal, fut-il ancien premier président de la cour suprême sénégalaise. C’est sur l’injonction directe du corrompu triumvir Kéba MBAYE, que le convertisseur de devises, Abdoul MBAYE alors qu’il était le DG de cette structure, a recyclé à la CBAO en 1990, l’argent dépouillé par Hisséne HABRE, dont les mains étaient à l’époque ensanglantées par des génocides aussi bien humains que financiers.
Pour justifier cette forfaiture criminelle, il a allégué qu’au moment des faits cet acte délictueux n’était pas réprimé par la législation sénégalaise. Doit-on alors légaliser la traite négrière puisqu’à cette période l’esclavage n’était pas encore aboli par les juridictions internationales ?
Ce passeur de pièces au lieu de chercher à trouver des issues de sortie devrait plus tôt s’agenouiller pour demander la clémence au peuple Tchadien afin de laver, même s’il sera très difficile, la mémoire souillée à jamais de ce magistrat vendu, qui a été à la base de cette association de malfaiteurs, présentement dans les affres de l’au-delà.
Héréditaire de crimes économiques de tous genres, ce passeur de monnaie a profité de son passage à la tête de la primature pour obstruer les finances publiques exacerbant ainsi la léthargie de l'économie. Par ce fait, il a attribué dans l’illégalité la plus absolue à ses amis de l’ABB, 269 millions de FCFA de gré à gré rien que pour les études architecturales d’un centre devant abriter le sommet de la francophonie. Ce criminel en col blanc, comme à sa triste accoutumée allouera en plus à l’amiable 80 milliards de FCFA à ses amis Français d’ Eiffage. Comme toujours, lorsqu’il est chiffonné par sa conscience, il tentera de se disculper en arguant que ‘’ j’avais demandé à ne pas respecter le code de marché.’’
Ces marchés partagés entre amis ont tari les circuits financiers, corroborés par le jargon ‘’deuk bi dafa Macky ba Maréme’’ vu que l’argent ne circule qu’à sens unique. La libre concurrence rangée aux calendes grecques a permis sous son magistère à 376 entreprises de mettre la clef sous le paillasson car ce brigand avait fini d’ériger les grès à grès comme mode opératoire de gouvernance. De ce fait les tenants du pouvoir en ont abusé comme bon leurs semble puisque ce brigand, avec son visage triangulaire, qui était censé montré le bon exemple, n’était en réalité rompu qu’à des actes de razzia du trésor public.
Ce qui a entrainé une chute de 70 milliards de FCFA de la dette intérieure en 2013 avec comme corollaire une décrue de l’investissement, occasionnant par ce fait moins d’emplois avec comme effet une diminution drastique des revenus par conséquent du pouvoir d’achat. Voilà ce qui explique en grande partie les contours de cette crise socio-économique car les règles de transparence et de libre concurrence étaient faussées dès le départ.
Face à l’aggravation de cette misère généralisée, ce prédateur qui n’est bon que dans le blanchiment d’argent, prétextera que cette absence de liquidité est due à ‘’ la fin de l’argent facile’’. Hanté sans doute par les milliards acquis frauduleusement auprès d’Hisséne HABRE, il tempêtera ‘’ xaalis bu yomb mo fi jeex, travaillez’’. En lieu et place de cette autoglorification narcotique, le ramasseur de pierres va démentir ce mythomane puisqu’il distribuera 20 millions de FCFA aux stylistes non sans passer en revue les 700 millions de FCFA mobilisés pour l’organisation du 5ème anniversaire de l’APR et les centaines de millions de FCFA jetés aux femmes de l’APR de la diaspora.
Mieux pour maquiller ses limites dans sa gestion du bien commun, ce cambiste nous sert comme passe-droit, des parchemins ronflants acquis des suites d’un lourd investissement à HEC. Ces pacotilles distribuées par les universités françaises n’ont hélas rien à voir avec les finances publiques sénégalaises. Ce qui laisse d’ailleurs présager un sérieux doute sur la crédibilité de ces universités où l’on injecte des millions, juste pour homologuer une imposture.
L’ impuissance de ce cambiste a été sans nul doute matérialisée par un coût de la vie insoutenable, un marasme des flux financiers, une hausse du prix du kilowatt/heure de l'électricité qui est passé de 70 FCFA à 113 francs, une diminution des subventions octroyées aux paysans de 18 milliards FCFA à 13,8 milliards FCFA et un chômage endémique.
Il est triste de voir qu’au moment où ce convertisseur de monnaie nous vend du vent dans le premier fleuron de l’économie sénégalaise, piloté en sous-main par son frère, Cheikh Tidiane MBAYE, que des dizaines de milliers de jeunes intérimaires attendent de parapher un contrat de travail. Étant donné que rien que pour l’année dernière cette société a réalisé plus de 91 milliards de FCFA de profits. Cheikh Tidiane MBAYE durant tout son service n’a fait qu’abuser des stagiaires contractés sous forme de prestataires de services.
Ces derniers, dans la précarité la plus ignoble depuis plusieurs années, constatent avec amertume son retrait de l’espace publique juste pour permettre à la SONATEL d’être au service exclusif de la France en externalisant la gestion des réseaux à ces impérialistes. Rien de surprenant puisqu’en 1998, ce même Cheikh Tidiane MBAYE, de par sa mauvaise foi héritée, avait bradé en catimini 9 % des actifs de cette société à France Télécom.
La manière grossière dont son frère cadet, le faussaire Abdoul MBAYE, habitué à des pratiques répréhensibles, veut abuser de l’analphabète directeur de la société Sidec, le sieur Moustapha DIAKITE, nous parait vraiment indécente. Après avoir dument rempli sa part du contrat qui le liait à la BST devenue Attijariwafa Bank, l’arnaqueur et DG de cette banque, Abdoul MBAYE a non seulement falsifié sa signature mais s’est offert le luxe de vouloir saisir indûment ses deux immeubles sis à la rue Vincent X Galandou Diouf, à la rue 30X35 à la Médina, tout en faisant main basse sur ses 349 600 000 FCFA.
Ces graves atteintes portées à l’encontre de ce chef d’entreprise dont le seul tort est de n’avoir pas fait des études poussées, démontrent à suffisance, que cet imposteur qui se réclame banquier, n’a pas l’étoffe d’un homme d’État. Nous ne saurons aucunement laisser un mystificateur, fut-il premier ministre, confisquer par des manœuvres frauduleuses les droits d’un employeur simplement parce que ce dernier n’a pas été à l’école du savoir. Ses fugues auprès des familles religieuses ne visent en effet qu’à polir son image pestiférée par une fortune bâtie sur le faux.
Le passage du malhonnête cambiste, Abdoul MBAYE, à la tête du gouvernement a certainement ensablé la machine du ‘’yonou yokouté’’ ou plus tôt du ‘’Sénégal émergent’’ raison pour laquelle la détraquée, mariée à quatre hommes différents, peine à la faire déclencher vu qu’elle est atteinte d’une cécité intellectuelle. Nous comprenons alors les raisons de l’ambiance délétère qui règne au sommet de l’État. Le cancre de haut niveau, Macky SALL, est incapable de choisir un bon capitaine pour piloter le navire Sénégal, de plus en plus près du précipice mortel.
Le ramassis de promesses conjoncturelles engagé par le bricoleur politique de la présidence, ne fait hélas qu’étaler les tares de ce pilotage à vue. Pour tirer la couverture sur elle, la demoiselle Aminata TOURE s’est empressée de nager à contre-courant des rengaines avariées de son mentor qui affirmait un peu plus tôt que’’ le Yonnu Yokkuté ne permettaient pas de faire au Sénégal des bonds qualitatifs.’’ Au gré de ses aspirations égocentriques, celle qui ne camoufle plus ses ambitions suprêmes exhibera au grand public ses fissures, en attestant cinq jours plus tard que ‘’ mon carnet de route c'est de traduire la vision du Yonnu Yokkuté.’’
Il ressort de ce déphasage que cette déprimée n’est plus en mesure de faire fi de son égo surdimensionné. Au service de son agenda personnel, Aminata Touré abuse sournoisement de l’aveugle confiance de son mentor. Elle simule une subordination qui lui permet de ficeler dans l’ombre son armada politique avant d’amorcer définitivement son offensive.
Cette complicité artificielle de façade ne peut plus prospérer car l’action politique du gouvernement, relevant déjà de l’à-peu-près, est minée par des calculs politiques. Cette gouvernance aléatoire, associée à l’incompétence de cette désaxée qui n’a atteint aucun des objectifs qui lui étaient assignés, aura du mal à déployer ses ailes pour sortir le peuple de ce labyrinthe pernicieux. Toutes ces sorties sont synonymes de ratés langagiers. Sa carence cognitive conjuguée à son échec total à relancer l'économie en berne, contribue à assombrir l’image de ce gouvernement embourbé dans une impasse politico-juridique viciée.
Au seul profit de sa survie politique, elle a transformé la traque des biens mal acquis en un instrument de chantage politique dans l’unique dessein d'apparaitre comme la seule constante au sein du gouvernement, portant ainsi ombrage à son prédécesseur et même à son mentor, au point de figurer exagérément parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde. Sa conduite quotidienne à ce ministère a consisté à échafauder à des fins carriéristes des montages juridiques, incriminant ainsi mensongèrement sur des coups de tête les otages politiques du PDS dont le plus en vue est le frère Karim WADE. Ainsi elle réussira la prouesse de naufrager le système judiciaire dans une sphère partisane via un travestissement des rapports d’enquêtes.
Pour cette détraquée toute la politique gouvernementale se résume à une traque effrénée de ses concitoyens. Quand les étudiants manifestent il faut les traquer par une police universitaire, quand les enseignants réclament leurs droits il faut traquer ceux qui ont des salaires indus, quand les paysans sont abandonnés à leurs tristes sorts il faut traquer les opérateurs.
Ce qui laisse apparaitre des troubles psychologiques chez cette demoiselle aux quatre maris différents. Ce qui fut d’ ailleurs, la seule réussite de sa vie, vu est qu’elle a réussi en tant que femme, à s’essayer dans la polygamie car n’étant jamais rassasiée des œuvres de ces derniers. Ces perruques anachroniques à la James Brown ne font qu’exacerber le doute sur son handicap psychique. C’est vrai que lorsqu’une femme est en manque de sensation forte elle a toujours tendance à vouloir s’imposer. Même si sur le plan politique son apport est quasi inexistant.
Porté au fil du temps par l’appât de la drogue du pouvoir, cette décontenancée, en grosse manipulatrice, appuyée par des magistrats à sa solde, va même défier son premier ministre Abdoul MBAYE en refusant de recevoir les avocats d’Hisséne HABRE nonobstant les prescriptions de ce dernier. Au gré de sa volonté outrancière de domination, elle usera savamment de tous les stratagèmes pour enfoncer dans les flammes de l‘enfer son supérieur hiérarchique infantilisé, en paraphant la convention devant permettre la traduction en justice de l’ex dictateur Tchadien Hissène Habré. Même si cet acte discrétionnaire relevait du domaine de compétence du fessu Macky SALL, dorénavant sous l’emprise mentale de cette séductrice insidieuse.
Cet acte déloyal aura raison, suite à de fortes pressions, sur ce cambiste qui n’a aucun mérite à part d’être pistonné dans le milieu bancaire par l’un des plus véreux magistrats de l’histoire du Sénégal, fut-il ancien premier président de la cour suprême sénégalaise. C’est sur l’injonction directe du corrompu triumvir Kéba MBAYE, que le convertisseur de devises, Abdoul MBAYE alors qu’il était le DG de cette structure, a recyclé à la CBAO en 1990, l’argent dépouillé par Hisséne HABRE, dont les mains étaient à l’époque ensanglantées par des génocides aussi bien humains que financiers.
Pour justifier cette forfaiture criminelle, il a allégué qu’au moment des faits cet acte délictueux n’était pas réprimé par la législation sénégalaise. Doit-on alors légaliser la traite négrière puisqu’à cette période l’esclavage n’était pas encore aboli par les juridictions internationales ?
Ce passeur de pièces au lieu de chercher à trouver des issues de sortie devrait plus tôt s’agenouiller pour demander la clémence au peuple Tchadien afin de laver, même s’il sera très difficile, la mémoire souillée à jamais de ce magistrat vendu, qui a été à la base de cette association de malfaiteurs, présentement dans les affres de l’au-delà.
Héréditaire de crimes économiques de tous genres, ce passeur de monnaie a profité de son passage à la tête de la primature pour obstruer les finances publiques exacerbant ainsi la léthargie de l'économie. Par ce fait, il a attribué dans l’illégalité la plus absolue à ses amis de l’ABB, 269 millions de FCFA de gré à gré rien que pour les études architecturales d’un centre devant abriter le sommet de la francophonie. Ce criminel en col blanc, comme à sa triste accoutumée allouera en plus à l’amiable 80 milliards de FCFA à ses amis Français d’ Eiffage. Comme toujours, lorsqu’il est chiffonné par sa conscience, il tentera de se disculper en arguant que ‘’ j’avais demandé à ne pas respecter le code de marché.’’
Ces marchés partagés entre amis ont tari les circuits financiers, corroborés par le jargon ‘’deuk bi dafa Macky ba Maréme’’ vu que l’argent ne circule qu’à sens unique. La libre concurrence rangée aux calendes grecques a permis sous son magistère à 376 entreprises de mettre la clef sous le paillasson car ce brigand avait fini d’ériger les grès à grès comme mode opératoire de gouvernance. De ce fait les tenants du pouvoir en ont abusé comme bon leurs semble puisque ce brigand, avec son visage triangulaire, qui était censé montré le bon exemple, n’était en réalité rompu qu’à des actes de razzia du trésor public.
Ce qui a entrainé une chute de 70 milliards de FCFA de la dette intérieure en 2013 avec comme corollaire une décrue de l’investissement, occasionnant par ce fait moins d’emplois avec comme effet une diminution drastique des revenus par conséquent du pouvoir d’achat. Voilà ce qui explique en grande partie les contours de cette crise socio-économique car les règles de transparence et de libre concurrence étaient faussées dès le départ.
Face à l’aggravation de cette misère généralisée, ce prédateur qui n’est bon que dans le blanchiment d’argent, prétextera que cette absence de liquidité est due à ‘’ la fin de l’argent facile’’. Hanté sans doute par les milliards acquis frauduleusement auprès d’Hisséne HABRE, il tempêtera ‘’ xaalis bu yomb mo fi jeex, travaillez’’. En lieu et place de cette autoglorification narcotique, le ramasseur de pierres va démentir ce mythomane puisqu’il distribuera 20 millions de FCFA aux stylistes non sans passer en revue les 700 millions de FCFA mobilisés pour l’organisation du 5ème anniversaire de l’APR et les centaines de millions de FCFA jetés aux femmes de l’APR de la diaspora.
Mieux pour maquiller ses limites dans sa gestion du bien commun, ce cambiste nous sert comme passe-droit, des parchemins ronflants acquis des suites d’un lourd investissement à HEC. Ces pacotilles distribuées par les universités françaises n’ont hélas rien à voir avec les finances publiques sénégalaises. Ce qui laisse d’ailleurs présager un sérieux doute sur la crédibilité de ces universités où l’on injecte des millions, juste pour homologuer une imposture.
L’ impuissance de ce cambiste a été sans nul doute matérialisée par un coût de la vie insoutenable, un marasme des flux financiers, une hausse du prix du kilowatt/heure de l'électricité qui est passé de 70 FCFA à 113 francs, une diminution des subventions octroyées aux paysans de 18 milliards FCFA à 13,8 milliards FCFA et un chômage endémique.
Il est triste de voir qu’au moment où ce convertisseur de monnaie nous vend du vent dans le premier fleuron de l’économie sénégalaise, piloté en sous-main par son frère, Cheikh Tidiane MBAYE, que des dizaines de milliers de jeunes intérimaires attendent de parapher un contrat de travail. Étant donné que rien que pour l’année dernière cette société a réalisé plus de 91 milliards de FCFA de profits. Cheikh Tidiane MBAYE durant tout son service n’a fait qu’abuser des stagiaires contractés sous forme de prestataires de services.
Ces derniers, dans la précarité la plus ignoble depuis plusieurs années, constatent avec amertume son retrait de l’espace publique juste pour permettre à la SONATEL d’être au service exclusif de la France en externalisant la gestion des réseaux à ces impérialistes. Rien de surprenant puisqu’en 1998, ce même Cheikh Tidiane MBAYE, de par sa mauvaise foi héritée, avait bradé en catimini 9 % des actifs de cette société à France Télécom.
La manière grossière dont son frère cadet, le faussaire Abdoul MBAYE, habitué à des pratiques répréhensibles, veut abuser de l’analphabète directeur de la société Sidec, le sieur Moustapha DIAKITE, nous parait vraiment indécente. Après avoir dument rempli sa part du contrat qui le liait à la BST devenue Attijariwafa Bank, l’arnaqueur et DG de cette banque, Abdoul MBAYE a non seulement falsifié sa signature mais s’est offert le luxe de vouloir saisir indûment ses deux immeubles sis à la rue Vincent X Galandou Diouf, à la rue 30X35 à la Médina, tout en faisant main basse sur ses 349 600 000 FCFA.
Ces graves atteintes portées à l’encontre de ce chef d’entreprise dont le seul tort est de n’avoir pas fait des études poussées, démontrent à suffisance, que cet imposteur qui se réclame banquier, n’a pas l’étoffe d’un homme d’État. Nous ne saurons aucunement laisser un mystificateur, fut-il premier ministre, confisquer par des manœuvres frauduleuses les droits d’un employeur simplement parce que ce dernier n’a pas été à l’école du savoir. Ses fugues auprès des familles religieuses ne visent en effet qu’à polir son image pestiférée par une fortune bâtie sur le faux.
Le passage du malhonnête cambiste, Abdoul MBAYE, à la tête du gouvernement a certainement ensablé la machine du ‘’yonou yokouté’’ ou plus tôt du ‘’Sénégal émergent’’ raison pour laquelle la détraquée, mariée à quatre hommes différents, peine à la faire déclencher vu qu’elle est atteinte d’une cécité intellectuelle. Nous comprenons alors les raisons de l’ambiance délétère qui règne au sommet de l’État. Le cancre de haut niveau, Macky SALL, est incapable de choisir un bon capitaine pour piloter le navire Sénégal, de plus en plus près du précipice mortel.