Passée inaperçue depuis des mois, la commission annoncée par Macky Sall pour la réforme des institutions va sortir de sa torpeur dans les prochains jours. Pour bâtir une équipe, son président, Amadou Makhtar Mbow, tient à s’entourer de hautes compétences.
Commission chargée de la réforme ou de la consolidation des institutions, la dénomination importe peu. De toute façon, elle fera écho de sa mise en place effective «très prochainement». Des sources au courant de l’avancement des travaux soutiennent que le président de ladite structure, Amadou Makhtar Mbow, va dévoiler son équipe bientôt. Celle-ci, dit-on, sera composée de 13 experts «confirmés» en matière de réformes institutionnelles et de bonne gouvernance. Le président du Comité de pilotage des Assises nationales entend s’entourer de ressources humaines aux «profils pointus». Ces dernières, apprend-on, seront des universitaires, des hommes politiques et de la société civile. La structuration de la Commission se précise. Elle sera pilotée par un comité technique composé de trois personnes dont l’économiste Chérif Salif Sy connu pour sa proximité avec l’ancien directeur général de l’Unesco, Dr Cheikh Oumar Bâ et un expert Sud Africain. A l’instar des Assises nationales, Mbow promet une «démarche inclusive». Il n’aurait point de mal à démarrer dans la mesure où la Commission en question fera sienne les conclusions issues des Assises nationales. Le défi ne manque pas tout de même de délicatesse.
Mbow et son équipe devront redessiner l’architecture institutionnelle du Sénégal. Autrement dit, l’objectif est de déposer sur la table du chef de l’Etat un nouveau projet de Constitution dans lequel figurera en bonne place la réduction de la durée du mandat du président de la République qui devrait passer de sept à cinq ans. Une fois que ce travail est bouclé, Macky Sall convoquera le collège électoral à un référendum, confie-t-on.
C’est le 14 septembre dernier, lors de la célébration de la Journée des institutions que le chef de l’Etat avait annoncé la mise en place d’une commission qui sera dirigée par Amadou Makhtar Mbow et dont l’objectif sera de revoir et de consolider les institutions de manière durable, pour rendre aux citoyens «la plénitude de leurs droits».
Commission chargée de la réforme ou de la consolidation des institutions, la dénomination importe peu. De toute façon, elle fera écho de sa mise en place effective «très prochainement». Des sources au courant de l’avancement des travaux soutiennent que le président de ladite structure, Amadou Makhtar Mbow, va dévoiler son équipe bientôt. Celle-ci, dit-on, sera composée de 13 experts «confirmés» en matière de réformes institutionnelles et de bonne gouvernance. Le président du Comité de pilotage des Assises nationales entend s’entourer de ressources humaines aux «profils pointus». Ces dernières, apprend-on, seront des universitaires, des hommes politiques et de la société civile. La structuration de la Commission se précise. Elle sera pilotée par un comité technique composé de trois personnes dont l’économiste Chérif Salif Sy connu pour sa proximité avec l’ancien directeur général de l’Unesco, Dr Cheikh Oumar Bâ et un expert Sud Africain. A l’instar des Assises nationales, Mbow promet une «démarche inclusive». Il n’aurait point de mal à démarrer dans la mesure où la Commission en question fera sienne les conclusions issues des Assises nationales. Le défi ne manque pas tout de même de délicatesse.
Mbow et son équipe devront redessiner l’architecture institutionnelle du Sénégal. Autrement dit, l’objectif est de déposer sur la table du chef de l’Etat un nouveau projet de Constitution dans lequel figurera en bonne place la réduction de la durée du mandat du président de la République qui devrait passer de sept à cinq ans. Une fois que ce travail est bouclé, Macky Sall convoquera le collège électoral à un référendum, confie-t-on.
C’est le 14 septembre dernier, lors de la célébration de la Journée des institutions que le chef de l’Etat avait annoncé la mise en place d’une commission qui sera dirigée par Amadou Makhtar Mbow et dont l’objectif sera de revoir et de consolider les institutions de manière durable, pour rendre aux citoyens «la plénitude de leurs droits».