Cheikh Bamba Dièye, ministre de la Communication
SETAL.NET - Constat patent dans ce nouveau monde de « l’E Info », car rares sont les journaux en ligne qui disposent suffisamment de reporters sur le terrain à la recherche de l’information, ils se contentent de se rabattre sur les articles voir même le contenu tout entier d’un quotidien de la place pour alimentaire leur quotidien E.
Une façon de se débarrasser des charges ou bien les « embarras » de la tache face aux défit de l’environnement économique ?
En tout cas, quelque soit la réponse, le ministre de tutelle n’est pas du tout d’accord avec ces pratiques.
Ainsi, ce matin à l’occasion du lancement du nouveau site d’informations générales actu24.net, le représentant du ministre de la communication, Modou Ngom, présidant la dite cérémonie, a dressé un réquisitoire contre les « copieurs colleurs ».
« La presse en ligne, ce n’est pas du copié-collé. C’est un média comme tout autre média appelé à intégrer en son sein les parties prenantes de la presse classique pour fonctionner; ce n’est pas un réseau social, c’est plus sérieux que cela », précise-t-il.
« C’est un cyber média », a-t-il précise avant d’ajouter « l’Etat à sa disposions un fond d’appui à la presse, seront bénéficiaires ceux qui acceptent de se conformer à la règle qui nous régisse tous en tant que Média », a livré Ngom. Qui en remet une couche « nous nous sommes inscrits en droite ligne de l’économie numérique qui est un défit du millénaire et pour cela, nous ne cautionnerons jamais les dérives ».
Une façon de se débarrasser des charges ou bien les « embarras » de la tache face aux défit de l’environnement économique ?
En tout cas, quelque soit la réponse, le ministre de tutelle n’est pas du tout d’accord avec ces pratiques.
Ainsi, ce matin à l’occasion du lancement du nouveau site d’informations générales actu24.net, le représentant du ministre de la communication, Modou Ngom, présidant la dite cérémonie, a dressé un réquisitoire contre les « copieurs colleurs ».
« La presse en ligne, ce n’est pas du copié-collé. C’est un média comme tout autre média appelé à intégrer en son sein les parties prenantes de la presse classique pour fonctionner; ce n’est pas un réseau social, c’est plus sérieux que cela », précise-t-il.
« C’est un cyber média », a-t-il précise avant d’ajouter « l’Etat à sa disposions un fond d’appui à la presse, seront bénéficiaires ceux qui acceptent de se conformer à la règle qui nous régisse tous en tant que Média », a livré Ngom. Qui en remet une couche « nous nous sommes inscrits en droite ligne de l’économie numérique qui est un défit du millénaire et pour cela, nous ne cautionnerons jamais les dérives ».
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