Je suis disposé à collaborer, avec devoir et conviction, à une enquête scientifique internationale dans un processus judicaire de recherche de la vérité, a déclaré le professeur de neurologie, Fayçal Hentati.
Je suis prêt à témoigner dans le cadre d'un comité international comprenant des experts en médecine et des juristes, a ajouté ce médecin, le seul d'une équipe tunisienne à avoir accompagné Yasser Arafat de sa Mouqataa, à Ramallah, jusqu'à sa mort dans l'hôpital parisien de Percy.
Arguant du secret professionnel et de la déontologie médicale, il a refusé de confirmer ou d'infirmer la thèse d'un assassinat ou de commenter les résultats d'un laboratoire suisse sur la présence anormale de polonium sur des effets personnels d'Arafat.
Je ne peux commenter ces résultats, ni les soupçons d'assassinat, cela reviendrait à porter une accusation de meurtre contre une partie tierce. Et ce n'est pas mon rôle, a ajouté le médecin, également chef de l'Institut public de neurologie de Tunis.
Je ne pourrai le faire que dans un cadre judiciaire et d'une enquête sérieuse, qui analyse tous les détails du dossier médical d'Arafat, a-t-il insisté.
Le rapport médical français publié après le décès de Yasser Arafat affirmait que la cause (de se mort) est inconnue, a-t-il rappelé.
L'Institute for Radiation Physics de Lausanne, qui a analysé des échantillons biologiques prélevés sur les effets personnels du dirigeant palestinien, remis à sa veuve par l'hôpital militaire français de Percy où il est mort, y a découvert une quantité anormale de polonium, selon un documentaire diffusé mardi par Al-Jazeera.
Le polonium est une substance radioactive hautement toxique avec laquelle a été empoisonné en 2006 à Londres Alexandre Litvinenko, un ex-espion russe devenu opposant au président Vladimir Poutine.
AFP
Je suis prêt à témoigner dans le cadre d'un comité international comprenant des experts en médecine et des juristes, a ajouté ce médecin, le seul d'une équipe tunisienne à avoir accompagné Yasser Arafat de sa Mouqataa, à Ramallah, jusqu'à sa mort dans l'hôpital parisien de Percy.
Arguant du secret professionnel et de la déontologie médicale, il a refusé de confirmer ou d'infirmer la thèse d'un assassinat ou de commenter les résultats d'un laboratoire suisse sur la présence anormale de polonium sur des effets personnels d'Arafat.
Je ne peux commenter ces résultats, ni les soupçons d'assassinat, cela reviendrait à porter une accusation de meurtre contre une partie tierce. Et ce n'est pas mon rôle, a ajouté le médecin, également chef de l'Institut public de neurologie de Tunis.
Je ne pourrai le faire que dans un cadre judiciaire et d'une enquête sérieuse, qui analyse tous les détails du dossier médical d'Arafat, a-t-il insisté.
Le rapport médical français publié après le décès de Yasser Arafat affirmait que la cause (de se mort) est inconnue, a-t-il rappelé.
L'Institute for Radiation Physics de Lausanne, qui a analysé des échantillons biologiques prélevés sur les effets personnels du dirigeant palestinien, remis à sa veuve par l'hôpital militaire français de Percy où il est mort, y a découvert une quantité anormale de polonium, selon un documentaire diffusé mardi par Al-Jazeera.
Le polonium est une substance radioactive hautement toxique avec laquelle a été empoisonné en 2006 à Londres Alexandre Litvinenko, un ex-espion russe devenu opposant au président Vladimir Poutine.
AFP