De l'avis de son grand-frère, Chérif Ndao a été « torturé par quatre personnes qui l’ont sérieusement tabassé ». C'est en tout cas ce que des témoins lui ont rapporté.
Ne s’arrêtant pas là, il dit avoir constaté deux choses de nature à mettre en mal l'argument selon lequel son jeune frère serait mort naturellement. « Premièrement, il est inadmissible que la mort d’un soldat soit annoncée à sa famille par un militaire qui escalade la maison d’autrui à des heures de crime (3h du matin) alors que la hiérarchie est là. Le deuxième point qui affecte la famille est que, selon certaines langues pendues à la base de formation de Thiès, tout au début de leur formation, un formateur aurait ouvertement déclaré à Chérif qui serait arrivé avec un léger retard au regroupement qu’il allait le torturer parmi ces centaines d’éléments présents », fait remarquer Youssoupha Ndao qui croit dur comme fer que son petit-frère a été assassiné par qu’il dérangeait.
Du coté du groupement des sapeurs pompiers, on nie et parle d’une mort naturelle. Le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba quant à lui, avertit : « si des personnes sont impliquées, elles seront poursuivies et sanctionnées ».
Ne s’arrêtant pas là, il dit avoir constaté deux choses de nature à mettre en mal l'argument selon lequel son jeune frère serait mort naturellement. « Premièrement, il est inadmissible que la mort d’un soldat soit annoncée à sa famille par un militaire qui escalade la maison d’autrui à des heures de crime (3h du matin) alors que la hiérarchie est là. Le deuxième point qui affecte la famille est que, selon certaines langues pendues à la base de formation de Thiès, tout au début de leur formation, un formateur aurait ouvertement déclaré à Chérif qui serait arrivé avec un léger retard au regroupement qu’il allait le torturer parmi ces centaines d’éléments présents », fait remarquer Youssoupha Ndao qui croit dur comme fer que son petit-frère a été assassiné par qu’il dérangeait.
Du coté du groupement des sapeurs pompiers, on nie et parle d’une mort naturelle. Le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba quant à lui, avertit : « si des personnes sont impliquées, elles seront poursuivies et sanctionnées ».