SETAL.NET - Suite à la mort du brigadier Assane Sagne qui, dit-on, se serait suicidé avec son arme, le commissaire Dramé et les policiers en poste au commissariat des Parcelles Assainies ont été entendus par la Brigade prévôtale qui s’occupe de cette affaire. Mais d’ores et déjà, la thèse du suicide fait grincer des dents. En tout cas, les collègues de Sagne croient savoir qu’il n’y a aucune raison pouvant expliquer le suicide d’autant qu’il était « formidable » et « respecté » de tous.
Les faits ont eu comme cadre le Commissariat des parcelles Assainies. Ce mardi, sur le coup de 11 heures, les premiers qui ont mis le pied dans le bureau de l’agent de la contravention découvrent l’hécatombe. C’est après une altercation avec son supérieur hiérarchique qui aurait tenu des propos irrespectueux à son endroit que Assane Sagne qui pourtant avait une permission pour déménager dans sa nouvelle demeure de Kaolack, s’est retiré dans son bureau pour se donner la mort. Il se serait tiré une balle. Son corps a été acheminé à l’hôpital Aristide Le Dantec pour autopsie.
Les faits ont eu comme cadre le Commissariat des parcelles Assainies. Ce mardi, sur le coup de 11 heures, les premiers qui ont mis le pied dans le bureau de l’agent de la contravention découvrent l’hécatombe. C’est après une altercation avec son supérieur hiérarchique qui aurait tenu des propos irrespectueux à son endroit que Assane Sagne qui pourtant avait une permission pour déménager dans sa nouvelle demeure de Kaolack, s’est retiré dans son bureau pour se donner la mort. Il se serait tiré une balle. Son corps a été acheminé à l’hôpital Aristide Le Dantec pour autopsie.