En début juillet dernier, la fille de cet homme est morte par noyade lors d’une sortie avec ses camarades de classe à la plage du village de Bédokh, dans la communauté rurale de Toubacouta (Fatick, Centre).
Mise au courant de cette tragédie, la famille Mbaye, qui réside à Yeumbeul (banlieue dakaroise), s’était rendue à Karang où était confiée leur défunte fille, pour les besoins de l’inhumation.
Mais sur le chemin du retour à Dakar, le taxi "7 places" à bord duquel étaient montés les membres de la famille Mbaye avait subi un accident.Quatre des leurs avaient perdu la vie.
Mouhamadou Lamine Mbaye, le père de famille, et sa première épouse figuraient parmi les blessés. Deux mois après ces drames, M. Mbaye lance un cri d’alarme.
‘’Ce qui m’inquiète, c’est surtout le sort de ma première épouse. Elle est gravement blessée et est internée à l’hôpital de Thiès. Elle a un bras cassé et des points de suture sur tout le visage (…), les soins sont excessivement chers et nous n’avons pas de moyens. Il nous faut vraiment de l’aide’’, a-t-il lancé, dans la dernière livraison du magazine Intelligences.
‘’J’étais dans le coma, les côtes cassées. J’ai aussi la jambe enflée (…). J’ai du mal à me déplacer et je ne peux pas me coucher. Je suis constamment sur une chaise sur laquelle je passe mes nuits’’, a confié cet ouvrier à la retraite.
Mise au courant de cette tragédie, la famille Mbaye, qui réside à Yeumbeul (banlieue dakaroise), s’était rendue à Karang où était confiée leur défunte fille, pour les besoins de l’inhumation.
Mais sur le chemin du retour à Dakar, le taxi "7 places" à bord duquel étaient montés les membres de la famille Mbaye avait subi un accident.Quatre des leurs avaient perdu la vie.
Mouhamadou Lamine Mbaye, le père de famille, et sa première épouse figuraient parmi les blessés. Deux mois après ces drames, M. Mbaye lance un cri d’alarme.
‘’Ce qui m’inquiète, c’est surtout le sort de ma première épouse. Elle est gravement blessée et est internée à l’hôpital de Thiès. Elle a un bras cassé et des points de suture sur tout le visage (…), les soins sont excessivement chers et nous n’avons pas de moyens. Il nous faut vraiment de l’aide’’, a-t-il lancé, dans la dernière livraison du magazine Intelligences.
‘’J’étais dans le coma, les côtes cassées. J’ai aussi la jambe enflée (…). J’ai du mal à me déplacer et je ne peux pas me coucher. Je suis constamment sur une chaise sur laquelle je passe mes nuits’’, a confié cet ouvrier à la retraite.