Après « Ewagne » en 2008, « Djompy » en 2011, l’une des célébrités actuelles de la musique moderne et traditionnelle de la basse Casamance, Jean Bosco vient de boucler un travail de longue haleine. Qui lui a permis de mettre sur le marché un nouvel opus. Pour son premier enregistrement, l’artiste auteur et compositeur originaire de Mlomp (Oussouye) a mis sur le marché « Kwasseen » (revivifier par des séances de prières et d’exorcisation etc) enregistré à Dakar.
L’album de 11 titres est dédié à la légende du football sénégalaise, feu Jules François Bocandé. « Bocandé mérite plus que ça. C’est quelqu’un qui a marqué de son empreinte indélébile le sport sénégalais et le football en particulier. C’est quelqu’un qui n’a jamais oublié ses origines, la Casamance. Il a énormément apporté le peu qu’il avait en soi pour développer le sport et dans cette partie du Sénégal. C’est la raison pour laquelle, je me dis attend pourquoi ne pas perpétuer sa mémoire par une oeuvre artistique », souligne Jean Bosco au
bout du fil.
Le premier morceau de l’album, lui a été entièrement consacré(Bocandé) et un autre celui-là en featuring avec la chorale de l’équipe fanion de Ziguinchor, le Casa-Sport, (Allez-Casa). L’autre morceau « ça fait mal » de son avis relate les souffrances dont sont victimes les populations de la Casamance meurtries par un conflit trentenaire aujourd’hui. « Depuis trente ans, les armes crépitent en Casamance. Pendant tout ce temps, on ne sait pas qui de l’Etat ou du Mouvement des forces démocratiques de Casamance(Mfdc) a raison. Mais ce qui est sûr, évident et constant, c’est que les populations souffrent. C’est cet appel à la paix, que je voudrai lancer dans ce morceau » ajoute t-il tout souriant.
Dan ce mêmemorceau, du début à la fin, on pouvait entendre les discours de l’ancien président du Conseil régional de Ziguinchor assassiné et dont le dossier a été rangé dans les tiroirs, Oumar Lamine BADJI, de l’ancien secrétaire général du mouvement des forces démocratiques de Casamance, Abbé Augustin Diamacoune Senghor et de l’ancienne député du PDS, Oumy Ndiaye. Dan son style « Ekokone », une danse traditionnelle dans le département d’Oussouye, l’artiste ne s’est pas fermé dans ça uniquement. « Non !! Il n’ya pas que ça en Casamance. Je revisite les sonorités Diola, donc, le Bougueureubou (diola fogny), Egnalènaay (danse de diola Esssyl Thionck-Essyl) etc. Je n’ai pas de limite. Si l’envie se présente pour découvrir d’autres sonorités linguistiques, ça me fera plaisir. Ce n’est pour rien que je joue du Cabo love » s’est –il voulu précis.
« Même pour mes répétitions, je loue du matériel et pas de clips faute de… »
L’auteur, de « Diakoum djibétène Thiossane essoukeuleul »(ne pas oublier notre culture) Jean Bosco Goudiaby traverse, comme tout débutant en musique toutes sortes de difficultés dans son métier. En plus de sponsors qui se font désirer, le chanteur doit prendre son mal en patience pour éclore dans la musique. les raisons: « Même pour mes répétitions, je loue du matériel. Depuis que j’ai commencé à chanter, c’est mon premier enregistrement. Je traverse une situation difficile. Imaginez, vous louez du matériel, même pour mes
concerts le peu que je gagne retourne à la location de ce matériel. Je lance un appel aux gens qui peuvent m’aider dans ce sens, car pour faire un spectacle il me faut un coup de main » a-t-il regretté. Autant de difficultés qui ne lui permettent pas de faire sa promotion. « J’ai n’ai jamais tourné un clip malgré tout ces efforts que je suis en train de faire. C’est autant de chose qui pose en tout cas sur la table le problème de ma visibilité»
L’album de 11 titres est dédié à la légende du football sénégalaise, feu Jules François Bocandé. « Bocandé mérite plus que ça. C’est quelqu’un qui a marqué de son empreinte indélébile le sport sénégalais et le football en particulier. C’est quelqu’un qui n’a jamais oublié ses origines, la Casamance. Il a énormément apporté le peu qu’il avait en soi pour développer le sport et dans cette partie du Sénégal. C’est la raison pour laquelle, je me dis attend pourquoi ne pas perpétuer sa mémoire par une oeuvre artistique », souligne Jean Bosco au
bout du fil.
Le premier morceau de l’album, lui a été entièrement consacré(Bocandé) et un autre celui-là en featuring avec la chorale de l’équipe fanion de Ziguinchor, le Casa-Sport, (Allez-Casa). L’autre morceau « ça fait mal » de son avis relate les souffrances dont sont victimes les populations de la Casamance meurtries par un conflit trentenaire aujourd’hui. « Depuis trente ans, les armes crépitent en Casamance. Pendant tout ce temps, on ne sait pas qui de l’Etat ou du Mouvement des forces démocratiques de Casamance(Mfdc) a raison. Mais ce qui est sûr, évident et constant, c’est que les populations souffrent. C’est cet appel à la paix, que je voudrai lancer dans ce morceau » ajoute t-il tout souriant.
Dan ce mêmemorceau, du début à la fin, on pouvait entendre les discours de l’ancien président du Conseil régional de Ziguinchor assassiné et dont le dossier a été rangé dans les tiroirs, Oumar Lamine BADJI, de l’ancien secrétaire général du mouvement des forces démocratiques de Casamance, Abbé Augustin Diamacoune Senghor et de l’ancienne député du PDS, Oumy Ndiaye. Dan son style « Ekokone », une danse traditionnelle dans le département d’Oussouye, l’artiste ne s’est pas fermé dans ça uniquement. « Non !! Il n’ya pas que ça en Casamance. Je revisite les sonorités Diola, donc, le Bougueureubou (diola fogny), Egnalènaay (danse de diola Esssyl Thionck-Essyl) etc. Je n’ai pas de limite. Si l’envie se présente pour découvrir d’autres sonorités linguistiques, ça me fera plaisir. Ce n’est pour rien que je joue du Cabo love » s’est –il voulu précis.
« Même pour mes répétitions, je loue du matériel et pas de clips faute de… »
L’auteur, de « Diakoum djibétène Thiossane essoukeuleul »(ne pas oublier notre culture) Jean Bosco Goudiaby traverse, comme tout débutant en musique toutes sortes de difficultés dans son métier. En plus de sponsors qui se font désirer, le chanteur doit prendre son mal en patience pour éclore dans la musique. les raisons: « Même pour mes répétitions, je loue du matériel. Depuis que j’ai commencé à chanter, c’est mon premier enregistrement. Je traverse une situation difficile. Imaginez, vous louez du matériel, même pour mes
concerts le peu que je gagne retourne à la location de ce matériel. Je lance un appel aux gens qui peuvent m’aider dans ce sens, car pour faire un spectacle il me faut un coup de main » a-t-il regretté. Autant de difficultés qui ne lui permettent pas de faire sa promotion. « J’ai n’ai jamais tourné un clip malgré tout ces efforts que je suis en train de faire. C’est autant de chose qui pose en tout cas sur la table le problème de ma visibilité»