Il fut un jour, un grand très grand roi, du nom de Pyrhius. Pyrhius, partait de conquête en conquête, de praierie en praierie, de royaume en royaume. Il fonda un empire si immense, si grandiose, mais il ne se rassasiait guère. Justement, plus sa grandeur s'accumulait, plus sa raison et son discernement prenaient congé de lui. Plus son pouvoir se scultait, plus il était ivre de maladresses.
Hélas, sa Mégalomanie ne s'arrêtant toujours pas, les conquêtes fussent-elles les plus inutiles et les moins stratégiques l'excitaient. Pyrhius, abusait de ses pouvoirs, pour humilier, molester, ridiculiser ses adversaires, même s'ils se rendaient. Même, s'ils étaient déjà péniblement arc-boutter aux quatres murs d'une prison.
Hélas, Pyrhius ne savait pas, que ses soldats, son infanterie, devenaient de plus en plus fatigués, faibles, léssivés. Néanmoins, aveuglé par son pouvoir, il ne vut rien, il ne s'en rendit pas compte. Un jour, il décida de s'attaquer à un royaume fort, tégneux, alors qu'il n'en avait même pas besoin.
Le résultat, fusse celui-ci : il gagna avec tellement de pertes d'hommes, de soldats, que sa victoire eue : une allure de défaite. Il gagna cette bataille, mais, n'eut personne désormais, pour protéger son royaume. À tel point qu'un petit contingent, pouvait mettre fin à son règne. C'est cela que l'on appelle une victoire aux allures d'une défaite.
Monsieur le Président, Son Excellence pour tout le respect que je vous porte, en tant que Première institution de ce pays, j'aimerai vous dire, que je suis déçu. Que la pire chose qui puisse vous arriver, c'est d'avoir une victoire à la Pyrhius ; une victoire qui vaut une défaite, est une défaite.
Monsieur le Président, vous n'avez pas besoin d'humilier. Au nom, de la cohésion nationale si importante en prélude d'élections à venir, un grand leader comme Khalifa Sall, vous deviez vous en passer, surtout à ce moment là.
Monsieur le Président, vous êtes à la fois, le Président des partisans : de Khalifa Sall, de Karim Wade, de Idrissa Seck ; le président de tous les sénégalais. Mais, eux ne sont que les présidents de leurs militants et de leurs partis. Si vous ne pouvez pas, avoir de la grandeur vis à vis d'eux, de montrer que vous, vous présider une patrie et non un parti, qu'est ce qui vous differencie d'eux ?
Monsieur le Président le " Gentlman Agreement Politique " que je pense exister, même si c'est un mot que je viens d'assembler, vous interdit de révoquer un élu. L'élu de la ville, la plus peuplée du pays que vous dirigez. Savez-vous, qu'il dirige une population de plus de 2,5 millions d'habitants ?
Monsieur le Président, Pyrhius a finalement, perdu son empire, comme étant un très mauvais dirigeant. Et, vous quelle image voulez-vous laisser ?
Amadou Seck Ndiaye,
Jeune écrivain-poète, et étudiant en droit à l'UCAD.
Hélas, sa Mégalomanie ne s'arrêtant toujours pas, les conquêtes fussent-elles les plus inutiles et les moins stratégiques l'excitaient. Pyrhius, abusait de ses pouvoirs, pour humilier, molester, ridiculiser ses adversaires, même s'ils se rendaient. Même, s'ils étaient déjà péniblement arc-boutter aux quatres murs d'une prison.
Hélas, Pyrhius ne savait pas, que ses soldats, son infanterie, devenaient de plus en plus fatigués, faibles, léssivés. Néanmoins, aveuglé par son pouvoir, il ne vut rien, il ne s'en rendit pas compte. Un jour, il décida de s'attaquer à un royaume fort, tégneux, alors qu'il n'en avait même pas besoin.
Le résultat, fusse celui-ci : il gagna avec tellement de pertes d'hommes, de soldats, que sa victoire eue : une allure de défaite. Il gagna cette bataille, mais, n'eut personne désormais, pour protéger son royaume. À tel point qu'un petit contingent, pouvait mettre fin à son règne. C'est cela que l'on appelle une victoire aux allures d'une défaite.
Monsieur le Président, Son Excellence pour tout le respect que je vous porte, en tant que Première institution de ce pays, j'aimerai vous dire, que je suis déçu. Que la pire chose qui puisse vous arriver, c'est d'avoir une victoire à la Pyrhius ; une victoire qui vaut une défaite, est une défaite.
Monsieur le Président, vous n'avez pas besoin d'humilier. Au nom, de la cohésion nationale si importante en prélude d'élections à venir, un grand leader comme Khalifa Sall, vous deviez vous en passer, surtout à ce moment là.
Monsieur le Président, vous êtes à la fois, le Président des partisans : de Khalifa Sall, de Karim Wade, de Idrissa Seck ; le président de tous les sénégalais. Mais, eux ne sont que les présidents de leurs militants et de leurs partis. Si vous ne pouvez pas, avoir de la grandeur vis à vis d'eux, de montrer que vous, vous présider une patrie et non un parti, qu'est ce qui vous differencie d'eux ?
Monsieur le Président le " Gentlman Agreement Politique " que je pense exister, même si c'est un mot que je viens d'assembler, vous interdit de révoquer un élu. L'élu de la ville, la plus peuplée du pays que vous dirigez. Savez-vous, qu'il dirige une population de plus de 2,5 millions d'habitants ?
Monsieur le Président, Pyrhius a finalement, perdu son empire, comme étant un très mauvais dirigeant. Et, vous quelle image voulez-vous laisser ?
Amadou Seck Ndiaye,
Jeune écrivain-poète, et étudiant en droit à l'UCAD.