n'deye diouf “Mou Serigne Fallou” prépare activement un spectacle au Théâtre national Daniel Sorano. En attend ce grand événement, elle a ouvert son jardin à L’Obs.
“Je sais d’où je viens et où je vais. Quand ma mère est décédée, je suis venue à Dakar pour trouver du travail. J’y ai rencontré d’énormes difficultés. J’ai travaillé comme ménagère, ne gagnant que 20 000 F par mois. C’était en 1992. J’ai galéré, mais je n’avais pas le droit de dévier du droit chemin. Ensuite, j’ai fait du commerce entre la Gambie, le Mali et le Sénégal. Une femme doit savoir où poser les pieds pour être respectée”.
En 1992, soutient-elle, “je traversais le pont qui était en construction pour aller aux Parcelles assainies, travailler comme bonne. En 2016, on parle de Ndeye Diouf qui se produit à Sorano, conduisant une 4×4. Il faut être simple dans la vie, on a tous un passé”
“Je sais d’où je viens et où je vais. Quand ma mère est décédée, je suis venue à Dakar pour trouver du travail. J’y ai rencontré d’énormes difficultés. J’ai travaillé comme ménagère, ne gagnant que 20 000 F par mois. C’était en 1992. J’ai galéré, mais je n’avais pas le droit de dévier du droit chemin. Ensuite, j’ai fait du commerce entre la Gambie, le Mali et le Sénégal. Une femme doit savoir où poser les pieds pour être respectée”.
En 1992, soutient-elle, “je traversais le pont qui était en construction pour aller aux Parcelles assainies, travailler comme bonne. En 2016, on parle de Ndeye Diouf qui se produit à Sorano, conduisant une 4×4. Il faut être simple dans la vie, on a tous un passé”