D’abord sur l’insécurité qui prévaut au Sénégal, il croit savoir que le phénomène est lié au trafic de drogue qui a lieu dans le pays. « L’insécurité et la criminalité ont un rapport avec le trafic de drogue et les autorités doivent prendre le taureau par les cornes pour y mettre un terme », soutient-il au bout du fil. Dans la même veine, il fait un crochet dans l’affaire dite de la drogue dans la police. Pour lui, la lumière doit être faite sur cette affaire et les responsabilités situées pour que pareille chose ne se reproduise.
Sur un autre registre, le patron de Tanor Laniou Andal a dénoncé avec véhémence le caractère sélectionniste de l’électrification du village de Nguiguiss, situé dans la communauté rurale de Médina Ndakar d’où il est originaire. Bien qu’étant à l’Etranger, précisément en Italie, Nguèye Loum trouve assez bizarre qu’une partie de ce village aux 7 agglomérations soit éclairée au détriment d’une autre. Ce d’autant plus qu’il a constaté que les agglomérations qui ont bénéficié de l’éclairage public (au solaire) sont plutôt favorables au parti dans lequel milite le président du Conseil rural, l’Apr. « Darou-Loum, Dia-ma et Ndiayène qui sont d’obédience socialiste ont été laissés en rade alors que ce sont ces mêmes villages qui ont voté pour le candidat Macky Sall au second tour. Ceci, au moment où le président du Conseil rural que je soupçonne d’être à l’origine de cet éclairage public sélectif battait campagne pour Wade. Il n’a rejoint l’Apr qu’entre les deux tours de la dernière présidentielle», a-t-il fait remarquer.
Au sujet du centre de santé de Nguiguiss, Nguèye Loum fait savoir que cette structure sanitaire est en train de mourir de sa belle mort pour faute de personnel et d’équipements. « Cette case de santé a été construite par les socialistes et depuis lors, rien de nouveau. Elle n’a jusqu’à ce jour été équipée et aucun infirmier n’y exerce. Les autorités ont le devoir de faire bouger les choses pour alléger les souffrances des populations locales qui n’en peuvent plus d’évacuer leurs malades vers d'autres zones alors qu’elles ont déjà une case de santé », déplore le « tanoriste ».
Abordant la politique, Nguèye Loum a invité ses camarades de parti à taire les querelles et d’œuvrer pour l’unité du Parti socialiste (Ps).
Sur un autre registre, le patron de Tanor Laniou Andal a dénoncé avec véhémence le caractère sélectionniste de l’électrification du village de Nguiguiss, situé dans la communauté rurale de Médina Ndakar d’où il est originaire. Bien qu’étant à l’Etranger, précisément en Italie, Nguèye Loum trouve assez bizarre qu’une partie de ce village aux 7 agglomérations soit éclairée au détriment d’une autre. Ce d’autant plus qu’il a constaté que les agglomérations qui ont bénéficié de l’éclairage public (au solaire) sont plutôt favorables au parti dans lequel milite le président du Conseil rural, l’Apr. « Darou-Loum, Dia-ma et Ndiayène qui sont d’obédience socialiste ont été laissés en rade alors que ce sont ces mêmes villages qui ont voté pour le candidat Macky Sall au second tour. Ceci, au moment où le président du Conseil rural que je soupçonne d’être à l’origine de cet éclairage public sélectif battait campagne pour Wade. Il n’a rejoint l’Apr qu’entre les deux tours de la dernière présidentielle», a-t-il fait remarquer.
Au sujet du centre de santé de Nguiguiss, Nguèye Loum fait savoir que cette structure sanitaire est en train de mourir de sa belle mort pour faute de personnel et d’équipements. « Cette case de santé a été construite par les socialistes et depuis lors, rien de nouveau. Elle n’a jusqu’à ce jour été équipée et aucun infirmier n’y exerce. Les autorités ont le devoir de faire bouger les choses pour alléger les souffrances des populations locales qui n’en peuvent plus d’évacuer leurs malades vers d'autres zones alors qu’elles ont déjà une case de santé », déplore le « tanoriste ».
Abordant la politique, Nguèye Loum a invité ses camarades de parti à taire les querelles et d’œuvrer pour l’unité du Parti socialiste (Ps).
Arrestations de Moustapha Diakhaté et Adama Gaye : L’APR dénonce « une dictature rampante » et exige leur libération
