NIAMEY — Au moins dix personnes ont été tuées jeudi par un attentat perpétré à Agadez, dans le nord du Niger, a-t-on appris de source occidentale, tandis que les autorités nigériennes ont confirmé des décès dans les rangs de l'armée et des assaillants.
"Il y a au moins dix morts" après l'attentat à la voiture piégée contre un camp militaire nigérien à Agadez, la grande ville du nord du pays, a affirmé à l'AFP la source occidentale.
"Il y a eu des morts des deux côtés", a indiqué un porte-parole du ministère nigérien de la Défense, sans plus de précision.
Un autre attentat à Arlit (plus de 200 km au nord d'Agadez) sur un site d'uranium d'Areva a tué le kamikaze et, selon le groupe français, fait 13 blessés parmi les travailleurs nigériens.
"Selon le ministère de la Défense, la réaction des forces armées nigériennes a été énergique et les assaillants neutralisés" après ce double attentat, pouvait-on lire sur un bandeau défilant à la télévision publique nigérienne.
La France, ex-puissance coloniale, a condamné "avec la plus grande fermeté" les attaques et présenté ses condoléances "aux familles des personnes décédées".
"Il y a au moins dix morts" après l'attentat à la voiture piégée contre un camp militaire nigérien à Agadez, la grande ville du nord du pays, a affirmé à l'AFP la source occidentale.
"Il y a eu des morts des deux côtés", a indiqué un porte-parole du ministère nigérien de la Défense, sans plus de précision.
Un autre attentat à Arlit (plus de 200 km au nord d'Agadez) sur un site d'uranium d'Areva a tué le kamikaze et, selon le groupe français, fait 13 blessés parmi les travailleurs nigériens.
"Selon le ministère de la Défense, la réaction des forces armées nigériennes a été énergique et les assaillants neutralisés" après ce double attentat, pouvait-on lire sur un bandeau défilant à la télévision publique nigérienne.
La France, ex-puissance coloniale, a condamné "avec la plus grande fermeté" les attaques et présenté ses condoléances "aux familles des personnes décédées".