apres 2008, la Société Africaine de Raffinage (SAR) procède à partir du 20 Avril à son Arrêt Métal 2014. Cet exercice répond aux exigences édictées par la loi encadrant le fonctionnement des établissements classés. Toutes les unités de l’usine, seront inspectées par les techniciens de la SAR et d’autres professionnels venant de raffineries partenaires et l’ARA (Association des Raffineurs Africains).
Cette opération aura pour but de garantir la sûreté de fonctionnement des unités durant le prochain cycle d’exploitation et moderniser les unités afin d’assurer une meilleure fiabilité, une sûreté de fonctionnement et de meilleures performances au cours du prochain cycle d’exploitation qui va durer cinq (5) ans.
En effet, la SAR est soumise à la réglementation de la Direction de l’Environnement et des Etablissements Classés (DEEC). Ainsi, dans le cadre de ses activités, la SAR observe tous les cinq ans un Arrêt Métal selon les normes sécuritaires en vigueur. Après chaque cycle de fonctionnement, elle doit arrêter toutes ses unités et procéder à la requalification de ses équipements dits soumis.
Pendant plusieurs semaines, les techniciens de l’entreprise vont passer en revue toute les installations et procéder à des changements de matériels après inspection. La Direction Générale de la SAR a pris toutes les dispositions pour une réussite de cet exercice. Selon le service de communication de l’entreprise l’arrêt métal n’impactera pas l’approvisionnement du pays en produits pétroliers puisque les dispositions de stockage de réserve et d’importations de produits pétroliers sont prises par anticipation en collaboration avec le Ministère de l’Energie et le Comité National des Hydrocarbures (CNH).
Les travaux d’arrêt vont impliquer environ 30 entreprises nationales et étrangères avec un personnel attendu d’au moins 300 agents. L’atteinte des objectifs de sécurité (zéro accident) et de qualité de réalisation de ces travaux assurera une exploitation des unités en toute sécurité et de sureté de fonctionnement pour un prochain cycle de cinq ans.
Cette opération aura pour but de garantir la sûreté de fonctionnement des unités durant le prochain cycle d’exploitation et moderniser les unités afin d’assurer une meilleure fiabilité, une sûreté de fonctionnement et de meilleures performances au cours du prochain cycle d’exploitation qui va durer cinq (5) ans.
En effet, la SAR est soumise à la réglementation de la Direction de l’Environnement et des Etablissements Classés (DEEC). Ainsi, dans le cadre de ses activités, la SAR observe tous les cinq ans un Arrêt Métal selon les normes sécuritaires en vigueur. Après chaque cycle de fonctionnement, elle doit arrêter toutes ses unités et procéder à la requalification de ses équipements dits soumis.
Pendant plusieurs semaines, les techniciens de l’entreprise vont passer en revue toute les installations et procéder à des changements de matériels après inspection. La Direction Générale de la SAR a pris toutes les dispositions pour une réussite de cet exercice. Selon le service de communication de l’entreprise l’arrêt métal n’impactera pas l’approvisionnement du pays en produits pétroliers puisque les dispositions de stockage de réserve et d’importations de produits pétroliers sont prises par anticipation en collaboration avec le Ministère de l’Energie et le Comité National des Hydrocarbures (CNH).
Les travaux d’arrêt vont impliquer environ 30 entreprises nationales et étrangères avec un personnel attendu d’au moins 300 agents. L’atteinte des objectifs de sécurité (zéro accident) et de qualité de réalisation de ces travaux assurera une exploitation des unités en toute sécurité et de sureté de fonctionnement pour un prochain cycle de cinq ans.