Cette citation de ce grand homme de l’Islam doit interpeller tous les tous les fanatiques qui peinent à faire la différence entre ombres et lumières, songes et illusions, mélodies et tintamarres.
Ombres et lumières.
Il s’est cru Serigne et pourtant, il n’était que Béthio. Un Béthio qu’on entrevoit dans les ombres sournoises. Eh oui ! Il n’est que l’ombre de lui-même. « Je suis Serigne… » Avait-t-il dit. Mais un Serigne ne tue pas. Il éclaire. Un Serigne n’enterre pas dans un trou à rats des êtres humains. Il guide le vivant et respecte le mort. Et ce qu’a fait Béthio relève de l’indicible. Il a fait traîner les deux corps sur plus d’un kilomètre avant de les jeter dans un trou infesté de rongeurs. Et de repartir à bord de sa ‘’Hummer’’, fier d’avoir accompli une sale besogne. Non ! cet homme n’est pas une lumière mais une ombre assassine.
Songes et illusions
Béthio prenait ses délires pour des songes et sa paranoïa pour des révélations. Il voyait ce que le monde ne voyait pas. Il entendait ce que personne n’entendait. Et il racontait l’impensable aux illuminés. Dans un jargon médical, cela s’appelle de schizophrénie. Les thiantaccounes, en quête d’espoir et de paix, sont les victimes coupables de leur naïveté et de l’absence de la répartie. Car comment un homme, doté du plus petit atome de raison, peut-il croire en Béthio ? Béthio est une illusion viciée. Et les thiantaccounes, des suivistes coupables.
Mélodies et tintamarres.
Béthio parlait et les thiantaccounes tombaient en transe. Il dansait et les thiantaccounes scandaient ‘’tu es Dieu’’. Il criait et les disciples disaient ‘’quelle belle voix’’. Et quand il parlait, puis dansait et criait à la fin, les disciples disait ‘’gloire à toi et à ta belle mélodie’’. Ces irréductibles de Béthio transformaient le tintamarre en mélodie, les murmures en alexandrins et la voix d’âne en voix d’or.
Donc ils sont tous coupables.
Source: Xibaaru.com
Ombres et lumières.
Il s’est cru Serigne et pourtant, il n’était que Béthio. Un Béthio qu’on entrevoit dans les ombres sournoises. Eh oui ! Il n’est que l’ombre de lui-même. « Je suis Serigne… » Avait-t-il dit. Mais un Serigne ne tue pas. Il éclaire. Un Serigne n’enterre pas dans un trou à rats des êtres humains. Il guide le vivant et respecte le mort. Et ce qu’a fait Béthio relève de l’indicible. Il a fait traîner les deux corps sur plus d’un kilomètre avant de les jeter dans un trou infesté de rongeurs. Et de repartir à bord de sa ‘’Hummer’’, fier d’avoir accompli une sale besogne. Non ! cet homme n’est pas une lumière mais une ombre assassine.
Songes et illusions
Béthio prenait ses délires pour des songes et sa paranoïa pour des révélations. Il voyait ce que le monde ne voyait pas. Il entendait ce que personne n’entendait. Et il racontait l’impensable aux illuminés. Dans un jargon médical, cela s’appelle de schizophrénie. Les thiantaccounes, en quête d’espoir et de paix, sont les victimes coupables de leur naïveté et de l’absence de la répartie. Car comment un homme, doté du plus petit atome de raison, peut-il croire en Béthio ? Béthio est une illusion viciée. Et les thiantaccounes, des suivistes coupables.
Mélodies et tintamarres.
Béthio parlait et les thiantaccounes tombaient en transe. Il dansait et les thiantaccounes scandaient ‘’tu es Dieu’’. Il criait et les disciples disaient ‘’quelle belle voix’’. Et quand il parlait, puis dansait et criait à la fin, les disciples disait ‘’gloire à toi et à ta belle mélodie’’. Ces irréductibles de Béthio transformaient le tintamarre en mélodie, les murmures en alexandrins et la voix d’âne en voix d’or.
Donc ils sont tous coupables.
Source: Xibaaru.com