Selon Abdoul Mbaye, "des individus qui n'ont rien compris à l'État chercheraient à monter en épingle cette petite affaire qui aurait dû rester petite affaire pour mettre fin à (sa) carrière politique".
Le mode opératoire de ses détracteurs présumés : "D'abord, (ils cherchent) à m'humilier par ma présence répétée au tribunal, mais (ils veulent) également me priver de mes droits civiques par une peine d'emprisonnement."
Évoquant l'affaire en tant que telle, Abdoul Mbaye a laissé entendre qu'il n'avait pas le choix en trainant Aminata Diack au tribunal.
"J'ai dû me résoudre à porter plainte contre mon ex épouse, s'excuse-t-il presque. Cette plainte traine depuis le 11 janvier. Ce n'est pas étonnant puisque c'est une affaire biaisée depuis le début. Même si le Procureur a déclaré devant la presse que les deux affaires seraient traitées, la mienne ne l'est toujours pas. Donc, mes avocats ont décidé de recourir à une citation directe et les deux affaires seront jugées le 4 mai."
Le mode opératoire de ses détracteurs présumés : "D'abord, (ils cherchent) à m'humilier par ma présence répétée au tribunal, mais (ils veulent) également me priver de mes droits civiques par une peine d'emprisonnement."
Évoquant l'affaire en tant que telle, Abdoul Mbaye a laissé entendre qu'il n'avait pas le choix en trainant Aminata Diack au tribunal.
"J'ai dû me résoudre à porter plainte contre mon ex épouse, s'excuse-t-il presque. Cette plainte traine depuis le 11 janvier. Ce n'est pas étonnant puisque c'est une affaire biaisée depuis le début. Même si le Procureur a déclaré devant la presse que les deux affaires seraient traitées, la mienne ne l'est toujours pas. Donc, mes avocats ont décidé de recourir à une citation directe et les deux affaires seront jugées le 4 mai."