Le naufrage du bateau le Joola survenu aux larges des côtes gambiennes a provoqué la mort de près de 2000 morts peu avant 23 heures. Pour la première fois, le jour a coïncidé avec celui que l’accident mortel s’est produit. Un record historique dans l’histoire des catastrophes maritimes mondiale. Les rescapés étaient au nombre de 64 personnes. L’épave est toujours dans les eaux. Toutes les procédures judicaires enclenchés pour situer la vérité sur cette catastrophe sont restées vaines.
Depuis que l’Etat sous Abdoulaye Wade a amputé la responsabilité de la catastrophe au commandant du bateau qui a péri dans le naufrage rien n’a bougé sur ce côté judicaire. Pratiquement, seuls les parents des victimes françaises continuent la bataille. Tandis que ceux du Sénégal restent visiblement plus préoccupés par la question de la prise en charges des enfants des victimes du naufrage.
Personne dans le gouvernement de l’époque en l’occurrence les ministres du Transports de l’époque, celui des Forces armées, le chef d’Etat - Major des Forces armées ne sont pas jusque là pas inquiétés de quoique ce soit. Simplement, parce que l’Etat a étouffé l’affaire. Seulement, c’est le Premier ministre à l’époque, Mame Madior Boye qui a démissionné.
Depuis que l’Etat sous Abdoulaye Wade a amputé la responsabilité de la catastrophe au commandant du bateau qui a péri dans le naufrage rien n’a bougé sur ce côté judicaire. Pratiquement, seuls les parents des victimes françaises continuent la bataille. Tandis que ceux du Sénégal restent visiblement plus préoccupés par la question de la prise en charges des enfants des victimes du naufrage.
Personne dans le gouvernement de l’époque en l’occurrence les ministres du Transports de l’époque, celui des Forces armées, le chef d’Etat - Major des Forces armées ne sont pas jusque là pas inquiétés de quoique ce soit. Simplement, parce que l’Etat a étouffé l’affaire. Seulement, c’est le Premier ministre à l’époque, Mame Madior Boye qui a démissionné.