e brigadier-chef Marc Martin-Vallet, 28 ans, qui a trouvé la mort "sur une piste à une vingtaine de kilomètres de Douentza, au centre du Mali" selon la Défense, appartenait au 515e régiment du train, camp de la Braconne (Charente), et était déployé au Mali depuis deux mois.
Il est le 7ème militaire français tué depuis le début de l’intervention française au Mali le 11 janvier. C’est le premier décès accidentel, les six autres ayant été victimes d’"actions ennemies", a précisé à l’AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l’état-major des armées.
"Engagé depuis près de sept ans dans la Défense, il avait fait la démonstration de son courage et de ses qualités à plusieurs reprises en opération", souligne le ministère dans son communiqué.
Il a été tué lorsque le véhicule de transport logistique où il avait pris place a "versé dans un fossé", mardi en fin d’après-midi. Le véhicule faisait partie d’un convoi logistique circulant entre Gao et Bamako.
L’un de ses camarades qui était à ses côtés a été blessé dans l’accident. "Son pronostic vital n’est pas engagé", a précisé la Défense.
"Le convoi était constitué d’une quarantaine de véhicules, dont une majorité de véhicules de transport et de véhicules logistiques, sécurisés par des véhicules d’escorte", a-t-on souligné de même source.
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a adressé ses condoléances à la famille endeuillée et ses voeux de prompt rétablissement au militaire blessé. Selon lui, le brigadier-chef Marc Martin-Vallet "a contribué au succès de nos forces au Mali et à la restauration de sa souveraineté sur tout le territoire".
Environ 3.200 militaires français sont encore présents sur le sol malien dans le cadre de l’opération Serval, intervention militaire française lancée en janvier à la demande du président malien Dioncounda Traoré.
Actuellement dans une phase d’appui au bon déroulement du scrutin présidentiel malien, ils poursuivent aussi des missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes et à poursuivre le transfert progressif aux contingents de la Minusma, la mission des Nations unies pour la stabilisation au Mali.
AFP via abamako.com
Il est le 7ème militaire français tué depuis le début de l’intervention française au Mali le 11 janvier. C’est le premier décès accidentel, les six autres ayant été victimes d’"actions ennemies", a précisé à l’AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l’état-major des armées.
"Engagé depuis près de sept ans dans la Défense, il avait fait la démonstration de son courage et de ses qualités à plusieurs reprises en opération", souligne le ministère dans son communiqué.
Il a été tué lorsque le véhicule de transport logistique où il avait pris place a "versé dans un fossé", mardi en fin d’après-midi. Le véhicule faisait partie d’un convoi logistique circulant entre Gao et Bamako.
L’un de ses camarades qui était à ses côtés a été blessé dans l’accident. "Son pronostic vital n’est pas engagé", a précisé la Défense.
"Le convoi était constitué d’une quarantaine de véhicules, dont une majorité de véhicules de transport et de véhicules logistiques, sécurisés par des véhicules d’escorte", a-t-on souligné de même source.
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a adressé ses condoléances à la famille endeuillée et ses voeux de prompt rétablissement au militaire blessé. Selon lui, le brigadier-chef Marc Martin-Vallet "a contribué au succès de nos forces au Mali et à la restauration de sa souveraineté sur tout le territoire".
Environ 3.200 militaires français sont encore présents sur le sol malien dans le cadre de l’opération Serval, intervention militaire française lancée en janvier à la demande du président malien Dioncounda Traoré.
Actuellement dans une phase d’appui au bon déroulement du scrutin présidentiel malien, ils poursuivent aussi des missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes et à poursuivre le transfert progressif aux contingents de la Minusma, la mission des Nations unies pour la stabilisation au Mali.
AFP via abamako.com