Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, propose une coalition mondiale pour lutter contre la pratique de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée.
’’Il nous faudra donc, des mesures à l’échelle mondiale, une coalition mondiale contre cette pêche illégale non déclarée et non réglementation’’, a t -il dit, appelant les Etats à ratifier les accords.
Le ministre intervenait samedi à l’occasion d’un panel sur ‘’dialogue sur les océans : défis et possibilités d’adaptation’’, dans le cadre de la 22ème conférence des parties sur le climat.
En outre, il a également plaidé une harmonisation des différents code de la pêche.
’’’Il faut harmoniser les législations, lutter contre la pêche illégale non déclarée, non réglementée, prendre des mesures d’adaptation pour la pêche, face aux changements climatiques’’, a t-il dit.
Au Sénégal, ’’nous avons pris des mesures importantes et radicales concernant les bateaux qui viennent piller nos ressources’’, a relevé Oumar Guèye, soulignant que le nouveau code de la pêche, voté en 2015, inflige des amendes importantes.
Les statistiques montrent que chaque année, ’’nous perdons près de 230 millions d’euros dus à cette pêche illégale’’, a selon M. Guèye, notant que 1,5 millions d’euros est la somme à payer à chaque fois qu’un bateau est pris en train ’’de piller nos ressources’’.
Il est revenu sur plusieurs mesures préconisées, par le gouvernement sénégalais, dans le cadre de la lutte contre cette pêche illicite.
’’Il nous faudra donc, des mesures à l’échelle mondiale, une coalition mondiale contre cette pêche illégale non déclarée et non réglementation’’, a t -il dit, appelant les Etats à ratifier les accords.
Le ministre intervenait samedi à l’occasion d’un panel sur ‘’dialogue sur les océans : défis et possibilités d’adaptation’’, dans le cadre de la 22ème conférence des parties sur le climat.
En outre, il a également plaidé une harmonisation des différents code de la pêche.
’’’Il faut harmoniser les législations, lutter contre la pêche illégale non déclarée, non réglementée, prendre des mesures d’adaptation pour la pêche, face aux changements climatiques’’, a t-il dit.
Au Sénégal, ’’nous avons pris des mesures importantes et radicales concernant les bateaux qui viennent piller nos ressources’’, a relevé Oumar Guèye, soulignant que le nouveau code de la pêche, voté en 2015, inflige des amendes importantes.
Les statistiques montrent que chaque année, ’’nous perdons près de 230 millions d’euros dus à cette pêche illégale’’, a selon M. Guèye, notant que 1,5 millions d’euros est la somme à payer à chaque fois qu’un bateau est pris en train ’’de piller nos ressources’’.
Il est revenu sur plusieurs mesures préconisées, par le gouvernement sénégalais, dans le cadre de la lutte contre cette pêche illicite.