L’Université Gaston Berger de Saint-Louis tarde à ouvrir ses portes. Un constat qui risque de provoquer beaucoup de bruit au niveau de la communauté universitaire. Les étudiants sont dans tous leurs états et cela depuis que les autorités de l’UGB ont reporté la date de démarrage des activités au niveau du CROUS. Une décision qui serait liée selon ces dernières à des dysfonctionnements dans le cadre de la réorganisation interne de l’UGB. Un fait qui a été vigoureusement dénoncé par la coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) au cours d’un face à face avec la presse. Les responsables de la structure estudiantine exigent de l’État le paiement des dettes dues aux repreneurs des restaurants et l’ouverture immédiate du campus social, avant qu’ils ne passent à la vitesse supérieure dans la lutte.
Au nom de ses camarades dont beaucoup ne sont pas encore sur place, le président de séance de la coordination des étudiants de Saint-Louis a fustigé le manque de volonté des autorités académiques. « Présentement les œuvres sociales sont inexistantes à l’Ugb. Le campus social est fermé et les restaurants ne sont pas opérationnels parce que le CROUS doit une dette de 1 million six cent quarante millions de frcs cfa (1 640 000 000 ) aux repreneurs de ces dits restaurants. La direction pouvait régler le problème depuis les grandes vacances, malheureusement les dirigeants sont plus préoccupés par la politique qu’autre chose. Raison pour laquelle, nous interpellons le président de la République et son gouvernement pour que les dettes soient remboursées afin que nous puissions rejoindre le campus social, a-t-il ajouté.
Au nom de ses camarades dont beaucoup ne sont pas encore sur place, le président de séance de la coordination des étudiants de Saint-Louis a fustigé le manque de volonté des autorités académiques. « Présentement les œuvres sociales sont inexistantes à l’Ugb. Le campus social est fermé et les restaurants ne sont pas opérationnels parce que le CROUS doit une dette de 1 million six cent quarante millions de frcs cfa (1 640 000 000 ) aux repreneurs de ces dits restaurants. La direction pouvait régler le problème depuis les grandes vacances, malheureusement les dirigeants sont plus préoccupés par la politique qu’autre chose. Raison pour laquelle, nous interpellons le président de la République et son gouvernement pour que les dettes soient remboursées afin que nous puissions rejoindre le campus social, a-t-il ajouté.