De son vrai nom Fouzia Azeem, elle postait sur les réseaux sociaux des photos d'elle très maquillée, en décolleté un peu trop généreux et dans des poses un peu trop sexy. Trop en tout cas pour son frère, qui a estimé que son comportement était déshonorant et l'a étranglée avant de prendre la fuite.
A 26 ans, Qandeel Baloch était une star au Pakistan et au-delà. Inspirée par Kim Kardashian et Lady Gaga, elle interpellait les sportifs, les politiques, les religieux avec une liberté de ton inédite pour une femme dans son pays. Son assassinat a provoqué un choc et d'innombrables réactions.
Des crimes courants au Pakistan
La veille de sa mort, elle avait posté ce message : « Peu importe combien de fois on me rejettera à terre, je suis une combattante et je me relèverai. Je veux être une inspiration pour ces femmes qui sont dominées et maltraitées par la société. »
Les crimes d'honneur sont fréquents au Pakistan, dont la loi permet aux hommes d'échapper à la justice si la famille pardonne en échange d'une somme d'argent, ce qu'on appelle le « prix du sang ». Le Premier ministre s'est engagé en début d'année à éradiquer ce phénomène, mais aucune nouvelle législation n'a vu le jour depuis.
Lire suite sur RFI
A 26 ans, Qandeel Baloch était une star au Pakistan et au-delà. Inspirée par Kim Kardashian et Lady Gaga, elle interpellait les sportifs, les politiques, les religieux avec une liberté de ton inédite pour une femme dans son pays. Son assassinat a provoqué un choc et d'innombrables réactions.
Des crimes courants au Pakistan
La veille de sa mort, elle avait posté ce message : « Peu importe combien de fois on me rejettera à terre, je suis une combattante et je me relèverai. Je veux être une inspiration pour ces femmes qui sont dominées et maltraitées par la société. »
Les crimes d'honneur sont fréquents au Pakistan, dont la loi permet aux hommes d'échapper à la justice si la famille pardonne en échange d'une somme d'argent, ce qu'on appelle le « prix du sang ». Le Premier ministre s'est engagé en début d'année à éradiquer ce phénomène, mais aucune nouvelle législation n'a vu le jour depuis.
Lire suite sur RFI