Qui en veut vraiment à ce prêtre pour oser entrer dans une église, se rendre derrière l’autel, lieu du Saint Sacrifice et placer des amulettes diaboliques sous le siège qu’il devait occuper pour présider l’eucharistie ? En attendant de retrouver l’auteur de cet « attentat », il faut retenir qu’il est manifestement bien informé sur le calendrier des prêtres, pour savoir que l’Abbé Mathias était de messe, ce mercredi. En tout cas, ce dernier est devenu la cible d’un projet macabre d’une personne ou d’un groupe de personnes qui a décidé de passer, aujourd’hui, à la vitesse supérieure pour arriver à ses fins sataniques.
L’Abbé Mathias explique qu’en septembre 2012, le secrétariat de la paroisse avait été cambriolé. « A l’occasion de ce cambriolage, une forte somme d’argent avait été emportée. J’ai déposé une plainte contre X à la police et procédé à un réaménagement interne du personnel travaillant à la paroisse », renseigne-t-il. « Depuis lors je fais l’objet de menace et d’intimidation de la part de personnes mal intentionnées. C’est ainsi que le 26 décembre 2012, j’ai trouvé à la porte de mon bureau un sachet rempli de gris gris », poursuit-il.
Le 02 avril 2013 (mardi de l’octave de Pâques), ce prêtre reçoit une lettre de menace dont la violence des termes donne froid dans le dos. Mais elle lève un coin du voile sur les reproches que son auteur, qui avance le visage masqué, porte à l’endroit de ce curé : « Depuis que vous êtes ici, nous n’avons plus la paix…Vous ne faites que ce que vous voulez ». Pour retrouver cette paix, cet « anonyme » nourrit le désir noir de « faire vivre l’enfer » à l’Abbé Mathias ; « de mener une guerre fatale » contre lui; de le « faire souffrir cruellement mais lentement »… « Si vous voulez avoir la paix, vous devez quitter la paroisse… »
Ce qui s’est passé hier survient huit jours seulement après la lettre de promesse et de menace de mort. Le chrono semble s’accélérer du côté de cette personne qui ne supporte plus le curé de la paroisse. Visiblement, elle ne reculera devant rien.
Paradoxalement, l’Abbé Mathias affiche une sérénité à toute épreuve. C’est seulement après avoir célébré la messe qu’il a déposé, hier, sa plainte à la police. Il a prié et jeté au loin ces amulettes. Il bénéficie du soutien de ses paroissiens. Tout au long de l’entretien que nous avons eu avec lui, ces derniers n’arrêtaient pas de l’appeler au téléphone pour lui exprimer leur soutien et leur solidarité.
L’Abbé Mathias explique qu’en septembre 2012, le secrétariat de la paroisse avait été cambriolé. « A l’occasion de ce cambriolage, une forte somme d’argent avait été emportée. J’ai déposé une plainte contre X à la police et procédé à un réaménagement interne du personnel travaillant à la paroisse », renseigne-t-il. « Depuis lors je fais l’objet de menace et d’intimidation de la part de personnes mal intentionnées. C’est ainsi que le 26 décembre 2012, j’ai trouvé à la porte de mon bureau un sachet rempli de gris gris », poursuit-il.
Le 02 avril 2013 (mardi de l’octave de Pâques), ce prêtre reçoit une lettre de menace dont la violence des termes donne froid dans le dos. Mais elle lève un coin du voile sur les reproches que son auteur, qui avance le visage masqué, porte à l’endroit de ce curé : « Depuis que vous êtes ici, nous n’avons plus la paix…Vous ne faites que ce que vous voulez ». Pour retrouver cette paix, cet « anonyme » nourrit le désir noir de « faire vivre l’enfer » à l’Abbé Mathias ; « de mener une guerre fatale » contre lui; de le « faire souffrir cruellement mais lentement »… « Si vous voulez avoir la paix, vous devez quitter la paroisse… »
Ce qui s’est passé hier survient huit jours seulement après la lettre de promesse et de menace de mort. Le chrono semble s’accélérer du côté de cette personne qui ne supporte plus le curé de la paroisse. Visiblement, elle ne reculera devant rien.
Paradoxalement, l’Abbé Mathias affiche une sérénité à toute épreuve. C’est seulement après avoir célébré la messe qu’il a déposé, hier, sa plainte à la police. Il a prié et jeté au loin ces amulettes. Il bénéficie du soutien de ses paroissiens. Tout au long de l’entretien que nous avons eu avec lui, ces derniers n’arrêtaient pas de l’appeler au téléphone pour lui exprimer leur soutien et leur solidarité.