Le match le plus attendu de l’année devient le match le plus excitant de l’histoire de la Ligue 1. Ce soir, à la rivalité ancestrale, à l’enjeu sportif réel (ce n’est pas toujours le cas et c’est le premier contre le troisième) s’ajoute une touche de grâce qui n’a jamais enveloppé aussi sûrement une rencontre du Championnat de France. David Beckham va jouer en France et le football hexagonal va basculer dans un autre monde. Pour les abonnés de Canal +, qui diffuse la rencontre, ce PSG - OM s’annonce un peu comme un prélude à la soirée des Oscars qui suivra de quelques heures la fin du clasico.
David, son pied droit magique, sa coiffure impeccable et sa femme fan en tribune, débarque pour le plus grand bonheur d’un Parc des Princes qui n’a jamais autant refusé de monde. L’affluence médiatique battra aussi un nouveau record. Ce soir, la Ligue 1 est le centre du monde, prête à accueillir le joueur de football en activité le plus connu de la planète. Welcome David! Joue-la comme Beckham, c’est le mieux et le plus simple.
Zlatan ne devrait pas se contenter du rôle de figurant
Sur la pelouse, ce sera peut-être une autre histoire. Après son départ d’un championnat nord-américain au niveau très incertain et presque trois mois sans match, l’Anglais va découvrir la rudesse marseillaise.
Face au Marseille de Joey Barton, un compatriote juste un peu moins classe, juste un peu moins beau, juste un peu moins souriant, parfait dans le scénario hollywoodien avec les traditionnels rôles du « bad cop » et du « good cop » (« le flic méchant » et « le flic gentil »), David Beckham souffrira peut-être.
Mais les échos de la semaine et de la conférence de presse de Carlo Ancelotti, l’entraîneur parisien, vont à l’encontre de cette crainte : « Il est capable de jouer un match entier, surprend le technicien italien. Il est dans une condition physique optimale. Tous les tests ont été bons. Je ne suis pas surpris, je le connais et il est toujours aussi professionnel. Il travaille tous les jours et a beaucoup de qualités. Il est très heureux d’être ici et il a une très bonne relation avec ses autres coéquipiers. »
Comme Zlatan Ibrahimovic n’aime pas les rôles de figurant, il sera peut-être l’énorme vedette d’un clasico qui, sur le terrain, n’aura peut-être pas le charme des attentes extrasportives. Ce qui ramènerait ce PSG - OM à ses prédécesseurs, la rencontre n’ayant pas toujours atteint un sommet de jeu et de technicité. Sportivement, l’affiche reste quand même passionnante, entre l’équipe la plus attendue de France et celle que personne n’avait imaginée à ce niveau-là.
David, son pied droit magique, sa coiffure impeccable et sa femme fan en tribune, débarque pour le plus grand bonheur d’un Parc des Princes qui n’a jamais autant refusé de monde. L’affluence médiatique battra aussi un nouveau record. Ce soir, la Ligue 1 est le centre du monde, prête à accueillir le joueur de football en activité le plus connu de la planète. Welcome David! Joue-la comme Beckham, c’est le mieux et le plus simple.
Zlatan ne devrait pas se contenter du rôle de figurant
Sur la pelouse, ce sera peut-être une autre histoire. Après son départ d’un championnat nord-américain au niveau très incertain et presque trois mois sans match, l’Anglais va découvrir la rudesse marseillaise.
Face au Marseille de Joey Barton, un compatriote juste un peu moins classe, juste un peu moins beau, juste un peu moins souriant, parfait dans le scénario hollywoodien avec les traditionnels rôles du « bad cop » et du « good cop » (« le flic méchant » et « le flic gentil »), David Beckham souffrira peut-être.
Mais les échos de la semaine et de la conférence de presse de Carlo Ancelotti, l’entraîneur parisien, vont à l’encontre de cette crainte : « Il est capable de jouer un match entier, surprend le technicien italien. Il est dans une condition physique optimale. Tous les tests ont été bons. Je ne suis pas surpris, je le connais et il est toujours aussi professionnel. Il travaille tous les jours et a beaucoup de qualités. Il est très heureux d’être ici et il a une très bonne relation avec ses autres coéquipiers. »
Comme Zlatan Ibrahimovic n’aime pas les rôles de figurant, il sera peut-être l’énorme vedette d’un clasico qui, sur le terrain, n’aura peut-être pas le charme des attentes extrasportives. Ce qui ramènerait ce PSG - OM à ses prédécesseurs, la rencontre n’ayant pas toujours atteint un sommet de jeu et de technicité. Sportivement, l’affiche reste quand même passionnante, entre l’équipe la plus attendue de France et celle que personne n’avait imaginée à ce niveau-là.