Interpellé lundi matin à 6 heures puis placé en garde à vue au commissariat du 8e arrondissement de Paris, Serge Aurier a été libéré lundi en début d'après-midi.
Les circonstances et les raisons de son arrestation restent encore floues.
A ce stade, deux versions s'opposent. Selon les premiers éléments, le joueur du PSG aurait insulté des policiers de la Bac qui lui demandaient de sortir d'un véhicule. Les faits se sont produits à l'angle des rues de Berri et de Ponthieu (près des Champs-Elysées) en face de la boite de nuit Titty Twister où Aurier avait passé une partie de la nuit avec des amis. En partant, il a pris place dans un gros 4X4 aux vitres teintées et immatriculé en Belgique. Le véhicule bloquait le passage, ce qui a attiré l'attention des policiers.
Aurier n'était pas en état d'ébriété et selon certaines sources, l'intervention des policiers aurait été particulièrement musclée. Non seulement du fait de l'état d'urgence actuellement en vigueur, mais aussi parce qu'une fusillade avait éclaté rue de Ponthieu dans la nuit de samedi à dimanche. Un policier avait été blessé.
Ce contexte pourrait expliquer la tension des forces de l'ordre au moment d'appréhender Aurier. Ce dernier n'aurait pas donné de coup aux policier mais aurait été blessé à un bras au moment où on lui passait les menottes.
Du côté du PSG, on se refuse à tout commentaire tant que la lumière n'a pas été faite sur cette affaire.
Les circonstances et les raisons de son arrestation restent encore floues.
A ce stade, deux versions s'opposent. Selon les premiers éléments, le joueur du PSG aurait insulté des policiers de la Bac qui lui demandaient de sortir d'un véhicule. Les faits se sont produits à l'angle des rues de Berri et de Ponthieu (près des Champs-Elysées) en face de la boite de nuit Titty Twister où Aurier avait passé une partie de la nuit avec des amis. En partant, il a pris place dans un gros 4X4 aux vitres teintées et immatriculé en Belgique. Le véhicule bloquait le passage, ce qui a attiré l'attention des policiers.
Aurier n'était pas en état d'ébriété et selon certaines sources, l'intervention des policiers aurait été particulièrement musclée. Non seulement du fait de l'état d'urgence actuellement en vigueur, mais aussi parce qu'une fusillade avait éclaté rue de Ponthieu dans la nuit de samedi à dimanche. Un policier avait été blessé.
Ce contexte pourrait expliquer la tension des forces de l'ordre au moment d'appréhender Aurier. Ce dernier n'aurait pas donné de coup aux policier mais aurait été blessé à un bras au moment où on lui passait les menottes.
Du côté du PSG, on se refuse à tout commentaire tant que la lumière n'a pas été faite sur cette affaire.