L’ancien président de l’Olympique de Marseille (élite française), Pape Diouf s’est réjoui de la décision de la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence (France) qui a annulé a mercredi sa mise en examen dans une affaire portant sur des transferts suspects dans le club français.
"J’étais sûr à 1000 pour cent que cette affaire allait se terminer de la sorte", a déclaré ce jeudi Pape Diouf dans un entretien téléphonique avec l’APS.
Et c’est bien que ce soit le parquet lui-même qui avance qu’il n’existait "aucun indice grave ou concordant justifiant ma mise en examen", a ajouté l’ancien reporter sportif ayant dirigé l’OM de 2005 à 2009.
"Si on était allé jusqu’au tribunal, certains auraient pu dire oui mais... et continuer à épiloguer", a-t-il dit, soulignant que "c’est le parquet qui a indiqué qu’il n’y avait pas lieu de faire de telles poursuites à mon encontre".
"Le parquet a dit que cette accusation était saugrenue et injuste à mon égard", a commenté l’ancien agent de joueurs.
"Ce qui me gênait c’est qu’on puisse m’accuser d’être impliqué dans des transferts frauduleux à l’OM", a-t-il dit, reconnaissant que cette accusation l’a embêté.
"Mais le parquet a remis les choses à l’endroit confirmant depuis le début ce que nous n’avons jamais cessé de dire, notre innocence dans cette affaire", a ajouté l’ancien président de l’OM qui, à côté de ses activités de consultant, enseigne le journalisme dans une école à Marseille.
Pape Diouf a été mis en examen en décembre 2016 pour "abus de biens sociaux et association de malfaiteurs".
Il lui était reproché le versement de sommes estimées indues à l’ancien joueur olympien Thomas Deruda et une surévaluation de la commission de l’agent du défenseur Vitorino Hilton, pour un total de 474 000 euros.
La chambre de l’instruction a considéré qu’il n’existait pas d’indices graves ou concordants justifiant la mise en examen de M. Diouf.
L’avocat général avait lui-même requis cette annulation, faisant valoir que "les investigations ne permettaient pas d’établir que Pape Diouf avait engagé Thomas Deruda, en 2006, en sachant pertinemment qu’il n’avait pas les compétences requises pour jouer en qualité de professionnel".
"J’étais sûr à 1000 pour cent que cette affaire allait se terminer de la sorte", a déclaré ce jeudi Pape Diouf dans un entretien téléphonique avec l’APS.
Et c’est bien que ce soit le parquet lui-même qui avance qu’il n’existait "aucun indice grave ou concordant justifiant ma mise en examen", a ajouté l’ancien reporter sportif ayant dirigé l’OM de 2005 à 2009.
"Si on était allé jusqu’au tribunal, certains auraient pu dire oui mais... et continuer à épiloguer", a-t-il dit, soulignant que "c’est le parquet qui a indiqué qu’il n’y avait pas lieu de faire de telles poursuites à mon encontre".
"Le parquet a dit que cette accusation était saugrenue et injuste à mon égard", a commenté l’ancien agent de joueurs.
"Ce qui me gênait c’est qu’on puisse m’accuser d’être impliqué dans des transferts frauduleux à l’OM", a-t-il dit, reconnaissant que cette accusation l’a embêté.
"Mais le parquet a remis les choses à l’endroit confirmant depuis le début ce que nous n’avons jamais cessé de dire, notre innocence dans cette affaire", a ajouté l’ancien président de l’OM qui, à côté de ses activités de consultant, enseigne le journalisme dans une école à Marseille.
Pape Diouf a été mis en examen en décembre 2016 pour "abus de biens sociaux et association de malfaiteurs".
Il lui était reproché le versement de sommes estimées indues à l’ancien joueur olympien Thomas Deruda et une surévaluation de la commission de l’agent du défenseur Vitorino Hilton, pour un total de 474 000 euros.
La chambre de l’instruction a considéré qu’il n’existait pas d’indices graves ou concordants justifiant la mise en examen de M. Diouf.
L’avocat général avait lui-même requis cette annulation, faisant valoir que "les investigations ne permettaient pas d’établir que Pape Diouf avait engagé Thomas Deruda, en 2006, en sachant pertinemment qu’il n’avait pas les compétences requises pour jouer en qualité de professionnel".