Président de la communauté rurale de Ndindy, le député socialiste Cheikh Seck a les yeux rivés sur le fauteuil du premier secrétaire du Parti socialiste. Il l’a fait savoir à nos confrères de l’Observateur. « Si Tanor ne se présente pas, je serai candidat. Je suis aussi candidat à la succession de Tanor, je suis partant pour la course au fauteuil », annonce-t-il.
Et comme pour couper l’herbe sous le pied de ses détracteurs, le Président de la commission du développement et de l’Aménagement du territoire à l’Assemblée nationale dit : « vu mon parcours politique, je ne vois pas ce qui pourrait m’empêcher d’être le candidat du parti ».
Militant de la premier heure depuis les années 80, Cheikh Seck renseigne qu’il a été responsable régional des jeunesses socialistes de Diourbel en 1990. Ensuite il s’est retrouvé à la tête des jeunesses socialistes du Sénégal. En 1998, il est élu député à l’Assemblée nationale. « Partant de cela, je devais être au devant de la scène, je devais être le premier à être cité pour la succession de Tanor », prétend-il.
Et comme pour couper l’herbe sous le pied de ses détracteurs, le Président de la commission du développement et de l’Aménagement du territoire à l’Assemblée nationale dit : « vu mon parcours politique, je ne vois pas ce qui pourrait m’empêcher d’être le candidat du parti ».
Militant de la premier heure depuis les années 80, Cheikh Seck renseigne qu’il a été responsable régional des jeunesses socialistes de Diourbel en 1990. Ensuite il s’est retrouvé à la tête des jeunesses socialistes du Sénégal. En 1998, il est élu député à l’Assemblée nationale. « Partant de cela, je devais être au devant de la scène, je devais être le premier à être cité pour la succession de Tanor », prétend-il.