Selon l’Observateur, le jour supposé du vol, le samedi 7 septembre, le couple qui emploie la Sénégalaise avait prévu de passer la journée hors de la maison. Le maitre des lieux s’en ouvre alors à Fatou Diouf à qui il demande de ne quitter la maison sous aucun prétexte.
Revenant chez lui aux environs de 17 heures pour se changer, il remarque que la domestique est absente des lieux et avait emportées toutes les clés, y compris celle de sa chambre. Il rebrousse chemin et rejoint son épouse pour revenir tard dans la nuit.
Mais leur sang n’a fait qu’un tour lorsqu’ils ont remarqué que la chambre était éclairée alors qu’ils avaient pris le soin d’éteindre la lampe avant de sortir.
Pis, ils faillirent tomber à la renversent quand ils ont découvert que les 2 500 000 francs Ouguiyas et un téléphone portable de type Iphone, soit un pactole de 5 millions Ouguiya ont disparu.
Dès le lendemain, ils ont conduit Fatou Diouf au commissariat de police de Ksar n°1. Entendue par les limiers mauritaniens, elle nie en bloc, arguant que le jour des faits, deux de ses copines lui avaient rendu visite mais non sans préciser qu’elles n’étaient pas entrées.
L’enquête ouverte n’a pas encore permis aux policiers de mettre la main sur l’argent et l’objet volés. Néanmoins, la sénégalaise a été déférée le mercredi dernier.
Revenant chez lui aux environs de 17 heures pour se changer, il remarque que la domestique est absente des lieux et avait emportées toutes les clés, y compris celle de sa chambre. Il rebrousse chemin et rejoint son épouse pour revenir tard dans la nuit.
Mais leur sang n’a fait qu’un tour lorsqu’ils ont remarqué que la chambre était éclairée alors qu’ils avaient pris le soin d’éteindre la lampe avant de sortir.
Pis, ils faillirent tomber à la renversent quand ils ont découvert que les 2 500 000 francs Ouguiyas et un téléphone portable de type Iphone, soit un pactole de 5 millions Ouguiya ont disparu.
Dès le lendemain, ils ont conduit Fatou Diouf au commissariat de police de Ksar n°1. Entendue par les limiers mauritaniens, elle nie en bloc, arguant que le jour des faits, deux de ses copines lui avaient rendu visite mais non sans préciser qu’elles n’étaient pas entrées.
L’enquête ouverte n’a pas encore permis aux policiers de mettre la main sur l’argent et l’objet volés. Néanmoins, la sénégalaise a été déférée le mercredi dernier.