C’est dans une salle bondée de monde que le ministre Abou Lô a passé le témoin à son « frère et ami » Cheikh Bamba Dièye, ce lundi 12 novembre. Le désormais ex-ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique qui était flanqué de ses proches a laissé entendre qu’il quitte la tête de ce ministère « avec le sentiment du devoir accompli ». Ne doutant point des aptitudes de son successeur, Abou Lô dans son calme olympien fait savoir à ce dernier qu’il reste à sa disposition d’autant plus qu’il est « juste de l’autre coté ». Il fait ainsi allusion à l’Agence de régulation des Télécommunications et des Postes où il a été nommé comme Directeur général. Moment choisi par ses anciens collaborateurs pour lui remettre un un tableau sur lequel est dessiné le nom du Prophète Mouhamed (Psl) et un objet d’art.
Pour sa part, le tout nouveau ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique qui a mémorisé son discours s’est félicité du cadre dans lequel s’est tenu la passation de services. Revigorant son prédécesseur, il l’exhorte à devenir fier de ce qu’il a eu à accomplir tout en le rassurant de la poursuite de ce qu’il a déjà entamé à la tête de ce ministère. Comme pour séduire les journalistes, Cheikh Bamba Dièye dira à l’endroit de ces derniers qu’il ne touchera pas à leur liberté. Des propos qui ont le don d’arracher quelques sourires aux reporters dépêchés pour couvrir la cérémonie qui a pris fin avec une note panégyrique assurée par la griotte attitrée du ministre Abou Lô. « Tu n’es pas avide de pouvoirs, tu as la royauté dans le sang…», dira-t-elle à son « guer »…
Pour sa part, le tout nouveau ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique qui a mémorisé son discours s’est félicité du cadre dans lequel s’est tenu la passation de services. Revigorant son prédécesseur, il l’exhorte à devenir fier de ce qu’il a eu à accomplir tout en le rassurant de la poursuite de ce qu’il a déjà entamé à la tête de ce ministère. Comme pour séduire les journalistes, Cheikh Bamba Dièye dira à l’endroit de ces derniers qu’il ne touchera pas à leur liberté. Des propos qui ont le don d’arracher quelques sourires aux reporters dépêchés pour couvrir la cérémonie qui a pris fin avec une note panégyrique assurée par la griotte attitrée du ministre Abou Lô. « Tu n’es pas avide de pouvoirs, tu as la royauté dans le sang…», dira-t-elle à son « guer »…