‘’Le paradoxe de notre temps, c’est que jamais, dans l’histoire de l’humanité, le monde n’a accumulé autant de richesses. Et que jamais, dans l’histoire de l’humanité, le monde n’a compté autant de pauvres’’, a-t-il dit, devant 120 chefs d’Etat et de gouvernement parmi 193 Etats membres de l’ONU.
Elu le 25 mars dernier à la tête du Sénégal, M. Sall intervenait dans le débat général qui a suivi l’ouverture de la 67ème session de l’Assemblée générale des Nations unies. Il a également enchaîné avec ces questions : ‘’Quel monde pour demain ? Quel monde voulons-nous ?’’.
Selon le chef de l’Etat, 20 ans après le Sommet Planète-Terre de Rio, ‘’la dégradation continue de l’environnement, du fait de l’homme, risque désormais de compromettre les conditions de vie sur terre’’.
Il a en outre rappelé la lancinante question de la faim avec plus de ‘’ 900 millions de personnes (qui) sont victimes de sous-alimentation alors même que le potentiel de l’agriculture mondiale peut nourrir plus de deux fois la population de la planète’’.
‘’Qu’il s’agisse des millions d’êtres humains qui n’ont aucun accès aux services sociaux de base ; ou encore de ces millions de femmes qui continuent de perdre la vie en la donnant, le constat est là : troublant.’’
Le 4ème président de la République s’est appesanti sur le sort de ces millions de jeunes qui, après des années d’études, d’efforts et de sacrifices, ne trouvent, à la place du rêve accompli, que le cauchemar du chômage et l’indignation comme exutoire de leur détresse.
S’y ajoutent, selon lui, ‘’ces millions de travailleurs, pères et mères de familles, qui gagnent le minimum vital, se retrouvent brutalement sans emploi parce que l’entreprise a fait faillite et que le responsable principal s’en tire plutôt à bon compte avec +un parachute doré+ en guise d’indemnité’’.
Face à tant de défis, anciens et nouveaux, Macky Sall est d’avis que ‘’le cours de l’histoire nous montre que les paradigmes ont changé et que les vieilles recettes ne feront certainement pas notre fortune’’.
A ces effets, le président Sall a proposé à ses pairs une redéfinition du ‘’sens de nos priorités et un investissement dans l’économie réelle pour convenir d’un nouvel ordre mondial plus juste’’.
Elu le 25 mars dernier à la tête du Sénégal, M. Sall intervenait dans le débat général qui a suivi l’ouverture de la 67ème session de l’Assemblée générale des Nations unies. Il a également enchaîné avec ces questions : ‘’Quel monde pour demain ? Quel monde voulons-nous ?’’.
Selon le chef de l’Etat, 20 ans après le Sommet Planète-Terre de Rio, ‘’la dégradation continue de l’environnement, du fait de l’homme, risque désormais de compromettre les conditions de vie sur terre’’.
Il a en outre rappelé la lancinante question de la faim avec plus de ‘’ 900 millions de personnes (qui) sont victimes de sous-alimentation alors même que le potentiel de l’agriculture mondiale peut nourrir plus de deux fois la population de la planète’’.
‘’Qu’il s’agisse des millions d’êtres humains qui n’ont aucun accès aux services sociaux de base ; ou encore de ces millions de femmes qui continuent de perdre la vie en la donnant, le constat est là : troublant.’’
Le 4ème président de la République s’est appesanti sur le sort de ces millions de jeunes qui, après des années d’études, d’efforts et de sacrifices, ne trouvent, à la place du rêve accompli, que le cauchemar du chômage et l’indignation comme exutoire de leur détresse.
S’y ajoutent, selon lui, ‘’ces millions de travailleurs, pères et mères de familles, qui gagnent le minimum vital, se retrouvent brutalement sans emploi parce que l’entreprise a fait faillite et que le responsable principal s’en tire plutôt à bon compte avec +un parachute doré+ en guise d’indemnité’’.
Face à tant de défis, anciens et nouveaux, Macky Sall est d’avis que ‘’le cours de l’histoire nous montre que les paradigmes ont changé et que les vieilles recettes ne feront certainement pas notre fortune’’.
A ces effets, le président Sall a proposé à ses pairs une redéfinition du ‘’sens de nos priorités et un investissement dans l’économie réelle pour convenir d’un nouvel ordre mondial plus juste’’.
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