Greenpeace Afrique a attiré l’attention du nouveau Ministre de la Pêche et de l’Economie Maritime sur les préoccupations actuelles du secteur. Dans une note rendue publique, l'organisation de protection de l'environnement, de faire savoir que malgré son rôle socio-économique majeur, le secteur de la pêche est confronté à plusieurs problèmes. Les plus récurrents sont les choix inappropriés des politiques menées et la non application des textes réglementaires et documents stratégiques, notamment la lettre de politique sectorielle des pêches. Des manquements, selon le communiqué, qui impactent négativement sur les communautés de pêcheurs et constituent une menace supplémentaire pour les stocks de poissons déjà surexploités selon les conclusions de la dernière campagne menée par le Centre de Recherche Océanographique Dakar-Thiaroye (CRODT).
En outre, lit on sur la note, le secteur de la pêche est aussi confronté durant cette dernière décennie à des disparitions récurrentes de pêcheurs en mer et des tensions sociales entre les communautés. Les principales causes sont la raréfaction de la ressource et la pêche Illicite Non déclarée et Non réglementée (INN). Il faut ajouter à ces facteurs la non implication des acteurs dans les prises de décisions majeures qui impactent leurs activités et le manque de transparence dans un contexte de changement climatique associé à la croissance démographique.
Parce que la pêche est l'un des premiers secteurs d’exportation et principale source de devises du Sénégal, Greenpeace de demander au Ministre de la pêche, de promouvoir une gestion sous régionale des stocks de poissons partagés en renforçant les prérogatives de la Commission Sous-Régionale des Pêches (CSRP) et d’impliquer davantage les acteurs de la pêche dans l’attribution des licences de pêche. Pour la sécurité des pêcheurs, Greenpeace suggère l’amélioration des embarcations traditionnelles et la mise à disposition d’un système de géolocalisation et d’alerte précoce en temps réel pour éviter les nombreuses disparitions en mer.
Greenpeace pour finir, de recommander la publication de l'état d'avancement du processus de re-jaugeage des navires de pêche industrielle au Sénégal et l’arrêt de l’attribution d’autorisations aux unités de production de farine de poisson qui constituent une réelle menace pour la sécurité alimentaire et l’emploi de milliers de personnes.
En outre, lit on sur la note, le secteur de la pêche est aussi confronté durant cette dernière décennie à des disparitions récurrentes de pêcheurs en mer et des tensions sociales entre les communautés. Les principales causes sont la raréfaction de la ressource et la pêche Illicite Non déclarée et Non réglementée (INN). Il faut ajouter à ces facteurs la non implication des acteurs dans les prises de décisions majeures qui impactent leurs activités et le manque de transparence dans un contexte de changement climatique associé à la croissance démographique.
Parce que la pêche est l'un des premiers secteurs d’exportation et principale source de devises du Sénégal, Greenpeace de demander au Ministre de la pêche, de promouvoir une gestion sous régionale des stocks de poissons partagés en renforçant les prérogatives de la Commission Sous-Régionale des Pêches (CSRP) et d’impliquer davantage les acteurs de la pêche dans l’attribution des licences de pêche. Pour la sécurité des pêcheurs, Greenpeace suggère l’amélioration des embarcations traditionnelles et la mise à disposition d’un système de géolocalisation et d’alerte précoce en temps réel pour éviter les nombreuses disparitions en mer.
Greenpeace pour finir, de recommander la publication de l'état d'avancement du processus de re-jaugeage des navires de pêche industrielle au Sénégal et l’arrêt de l’attribution d’autorisations aux unités de production de farine de poisson qui constituent une réelle menace pour la sécurité alimentaire et l’emploi de milliers de personnes.