Les acteurs de la pêche de quais de débarquement, de sites de transformation du poisson répondant aux normes d’exportation de l’Union européenne grâce à la coopération japonaise.
Oumar Guèye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime a procédé, avant-hier, à la pose de la première pierre du quai de pêche de Ngaparou en présence de Ryuichi Kato, représentant résident de la Jica. « Cette cérémonie de pose de la première pierre des quais de pêche de Ngaparou et de Pointe Sarène, après celles de Soumbédioune et de Yoff, vient matérialiser la mise en œuvre effective du plan d’actions prioritaires du Pse », a déclaré Oumar Guèye. Le ministre a souligné que la pêche est inscrite parmi les moteurs de croissance sectorielle de l’Axe I du Pse qui lui assigne un rôle central dans le renforcement de la sécurité alimentaire ainsi que la création de richesses et d’emplois. Il a rappelé l’ambition du président Sall de fouetter ce secteur par la modernisation des infrastructures de pêche et de transformation des produits ; par le renforcement de la chaîne de froid par un maillage intense de l’ensemble du territoire national en complexes frigorifiques ; le renouvellement du parc des camions frigorifiques devenu vétuste.
Selon le ministre, la cogestion a contribué, de manière appréciable, à l’amélioration de la prise de conscience des acteurs sur leurs rôles et responsabilités dans la gestion durable des ressources halieutiques.
Ryuichi Kato, représentant résident de la Jica, a rappelé que la construction des quais de pêche à Ngaparou et à Pointe Sarène s’inscrit dans le Projet d’études de la promotion de la cogestion des pêcheries par le développement de la chaîne de valeur (Procoval). L’assistance du Japon au secteur de la pêche à travers l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) a démarré au Sénégal en 1976. Elle a touché l’ensemble de la filière avec l’aménagement de centres de pêche équipés, de marchés au poisson, de quais de débarquement, de sites de transformation, à travers la coopération financière non remboursable, le renforcement des capacités des acteurs et la promotion de la cogestion des pêcheries, dans la coopération technique. « Cette assistance repose sur deux objectifs stratégiques que sont la gestion durable des ressources halieutiques et le développement de la chaine de valeur des produits de la pêche, dans le but d’améliorer les conditions de vie des pêcheurs artisanaux du Sénégal, conformément à la lettre de Politique sectorielle et de contribuer à l’atteinte des objectifs du Plan Sénégal émergent (Pse) », a expliqué Ryuichi Kato. « Ces quais qui seront agréés pour l’exportation vers les pays de l’Union européenne vont aussi permettre aux villages voisins de Ngaparou et de Pointe Sarène de débarquer leurs produits de pêche sur place pour bénéficier de certificats d’exportation », a ajouté le représentant résident de la Jica, en exhortant les bénéficiaires à bien gérer les quais de pêche après l’achèvement des travaux de construction. D’un coût global de 420 millions de FCfa, ces quais comprennent un bloc administratif, une aire de stockage, de prétraitement des gastéropodes, de pesage, de conditionnement, un abri de repos et un parking pour les camions. La réalisation de l’ouvrage durera sept mois. Le ministre a invité l’entreprise à veiller « au respect scrupuleux » du délai d’exécution.
Oumar Guèye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime a procédé, avant-hier, à la pose de la première pierre du quai de pêche de Ngaparou en présence de Ryuichi Kato, représentant résident de la Jica. « Cette cérémonie de pose de la première pierre des quais de pêche de Ngaparou et de Pointe Sarène, après celles de Soumbédioune et de Yoff, vient matérialiser la mise en œuvre effective du plan d’actions prioritaires du Pse », a déclaré Oumar Guèye. Le ministre a souligné que la pêche est inscrite parmi les moteurs de croissance sectorielle de l’Axe I du Pse qui lui assigne un rôle central dans le renforcement de la sécurité alimentaire ainsi que la création de richesses et d’emplois. Il a rappelé l’ambition du président Sall de fouetter ce secteur par la modernisation des infrastructures de pêche et de transformation des produits ; par le renforcement de la chaîne de froid par un maillage intense de l’ensemble du territoire national en complexes frigorifiques ; le renouvellement du parc des camions frigorifiques devenu vétuste.
Selon le ministre, la cogestion a contribué, de manière appréciable, à l’amélioration de la prise de conscience des acteurs sur leurs rôles et responsabilités dans la gestion durable des ressources halieutiques.
Ryuichi Kato, représentant résident de la Jica, a rappelé que la construction des quais de pêche à Ngaparou et à Pointe Sarène s’inscrit dans le Projet d’études de la promotion de la cogestion des pêcheries par le développement de la chaîne de valeur (Procoval). L’assistance du Japon au secteur de la pêche à travers l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) a démarré au Sénégal en 1976. Elle a touché l’ensemble de la filière avec l’aménagement de centres de pêche équipés, de marchés au poisson, de quais de débarquement, de sites de transformation, à travers la coopération financière non remboursable, le renforcement des capacités des acteurs et la promotion de la cogestion des pêcheries, dans la coopération technique. « Cette assistance repose sur deux objectifs stratégiques que sont la gestion durable des ressources halieutiques et le développement de la chaine de valeur des produits de la pêche, dans le but d’améliorer les conditions de vie des pêcheurs artisanaux du Sénégal, conformément à la lettre de Politique sectorielle et de contribuer à l’atteinte des objectifs du Plan Sénégal émergent (Pse) », a expliqué Ryuichi Kato. « Ces quais qui seront agréés pour l’exportation vers les pays de l’Union européenne vont aussi permettre aux villages voisins de Ngaparou et de Pointe Sarène de débarquer leurs produits de pêche sur place pour bénéficier de certificats d’exportation », a ajouté le représentant résident de la Jica, en exhortant les bénéficiaires à bien gérer les quais de pêche après l’achèvement des travaux de construction. D’un coût global de 420 millions de FCfa, ces quais comprennent un bloc administratif, une aire de stockage, de prétraitement des gastéropodes, de pesage, de conditionnement, un abri de repos et un parking pour les camions. La réalisation de l’ouvrage durera sept mois. Le ministre a invité l’entreprise à veiller « au respect scrupuleux » du délai d’exécution.