Le contexte électoral actuel appelle plus que jamais à consolider notre encrage dans la coalition Benoo Bokk Yakaar. La dislocation quasi inéluctable du PDS et sa lancinante agonie, recommandent d’affuter et de perfectionner l’arme fatale devant servir à lui donner l’estocade à l’issue de ces élections législatives. Les Benoo ayant connu des fortunes diverses, le Bokk Yakaar a été la formule heureuse qui a consacré cette union sacrée devenue gagnante.
Aurait-on voulu adopter une posture contraire, nous ne serions plus logiques avec nous-mêmes et un remake du « wakh wakhète wadien» nous aurait fait porter le bonnet d’âne de l’échiquier politique national. Nous rappelons, si besoin en était, que la coalition Benoo ak Tanor avait noué un partenariat avec « Macky 2012 » pour battre campagne ensemble, gagner ensemble et gouverner ensemble. Ce faisant, une présence dans le gouvernement des camarades Aminata Mbengue Ndiaye, Serigne Mbaye Thiam et Haïdar El Ali, aux compétences avérées et indiscutables nous a permis de concrétiser ce partenariat gagnant-gagnant. Nous nous félicitons du reste des investitures sur la liste nationale de la coalition Benoo Bokk Yaakaar, de nos camarades Barthélémy Dias Secrétaire Général du MNJS et d’Aminata Diallo, Présidente des jeunesses féminines.
Reconnaître de bon cœur la prouesse réalisée par le candidat Macky Sall, en se classant second au premier tour de l’élection présidentielle, n’altère en rien l’effectivité et l’efficacité des contributions des autres candidats de la coalition, dans l’éclatante victoire au second tour de la présidentielle. Le report de voix a été bien effectif et l’effet synergie escompté aux législatives ne peut que nous donner une confortable et large majorité à l’assemblée nationale.
Le mouvement national des jeunesses socialistes, pour toutes ces raisons, toutes aussi pertinentes que réalistes, s’aligne sur la position du parti et de la coalition Benoo Ak Tanor. Les jeunesses socialistes avec toutes les entités constitutives du mouvement national intégreront et participeront activement à la campagne électorale dans les comités électoraux locaux de la coalition Benoo Bokk Yakaar. Notre engagement politique militant désintéressé, en les idéaux du parti et de la social-démocratie, ne saurait souffrir d’actes et de prises de positions individuelles ou minoritaires.
Les turpitudes constatées de la part de certains camarades, à la suite des choix opérés soit lors des nominations aux portefeuilles ministérielles soit lors des investitures sur les listes législatives, ont dévoilées au grand jour leurs viles motivations. Heureusement cet état de fait ne constitue nullement une exception socialiste. Dans ce registre le camarade Malick Noel Seck, toujours prompt à céder à toutes tentations furent-elles carcérales pour assouvir un désir immodéré de célébrité, a fait preuve d’une insolence inégalée à l’endroit du Secrétaire général du Parti Socialiste. L’ère des maîtres chanteurs, toujours déterminés à faire feu de tout bois pour assouvir leurs basses et minables ambitions, est révolue. Notre parti ne saurait être le terreau fertile de tels énergumènes mus par leurs seuls intérêts. Le mérite ne s’accommode point de chantage, seul l’élégance du désintéressement est capable de procurer le bonheur de sa jouissance. Cette sortie malheureuse de notre ex-camarade qui s’est auto exclu du parti socialiste, dénote d’une pathologie dont souffre cette race d’hommes aux ambitions si démesurées et maladroites qu’ils sont toujours amenés à danser plus vite que la musique. La paranoïa qui les frappe, les pousse à des actes désespérés que ni la raison, ni la saine ambition ne justifie.
S’il y a un parti qui, malgré les soubresauts et les vaines tentatives de déstabilisation subies en une décennie, a toujours triomphé de ses adversités c’est bien le parti socialiste. Cette exceptionnelle prouesse, nous la devons à un homme qui s’est échiné à maintenir courageusement le flambeau qui ployait sous le poids de la trahison et de l’ingratitude. Un homme qui a refusé que la flamme de l’espoir ne s’éteigne entre ses mains, alors qu’il avait en face de lui un parti libéral au pouvoir déterminé à lui faire subir les affres de la déchéance. Et malgré tout, il a tenu bon. Cette jeunesse valeureuse du parti que nous représentons, n’acceptera jamais que l’opprobre et l’anathème soient jetés sur notre Secrétaire Général. Le mouvement national des jeunesses socialistes renouvelle sa confiance au camarade Ousmane Tanor Dieng et reste déterminé à toujours l’honorer dans cette entreprise électorale des législatives à venir.
Nous en appelons à plus de sérénité et de dépassement de la part de l’ensemble des camarades. Notre priorité actuelle est d’œuvrer à la victoire éclatante de notre coalition au lendemain du scrutin législatif. Que ce soit dans les villes ou dans les campagnes nos camarades jeunes se mobiliseront pour ce seul et unique objectif du moment, afin de donner au Benoo Bokk Yakaar et au gouvernement du Président Macky Sall une majorité confortable à l’assemblée nationale.
Notre partenariat est une réalité vécue, la sincérité de notre engagement un sacerdoce !
Merci de votre aimable attention !
Aurait-on voulu adopter une posture contraire, nous ne serions plus logiques avec nous-mêmes et un remake du « wakh wakhète wadien» nous aurait fait porter le bonnet d’âne de l’échiquier politique national. Nous rappelons, si besoin en était, que la coalition Benoo ak Tanor avait noué un partenariat avec « Macky 2012 » pour battre campagne ensemble, gagner ensemble et gouverner ensemble. Ce faisant, une présence dans le gouvernement des camarades Aminata Mbengue Ndiaye, Serigne Mbaye Thiam et Haïdar El Ali, aux compétences avérées et indiscutables nous a permis de concrétiser ce partenariat gagnant-gagnant. Nous nous félicitons du reste des investitures sur la liste nationale de la coalition Benoo Bokk Yaakaar, de nos camarades Barthélémy Dias Secrétaire Général du MNJS et d’Aminata Diallo, Présidente des jeunesses féminines.
Reconnaître de bon cœur la prouesse réalisée par le candidat Macky Sall, en se classant second au premier tour de l’élection présidentielle, n’altère en rien l’effectivité et l’efficacité des contributions des autres candidats de la coalition, dans l’éclatante victoire au second tour de la présidentielle. Le report de voix a été bien effectif et l’effet synergie escompté aux législatives ne peut que nous donner une confortable et large majorité à l’assemblée nationale.
Le mouvement national des jeunesses socialistes, pour toutes ces raisons, toutes aussi pertinentes que réalistes, s’aligne sur la position du parti et de la coalition Benoo Ak Tanor. Les jeunesses socialistes avec toutes les entités constitutives du mouvement national intégreront et participeront activement à la campagne électorale dans les comités électoraux locaux de la coalition Benoo Bokk Yakaar. Notre engagement politique militant désintéressé, en les idéaux du parti et de la social-démocratie, ne saurait souffrir d’actes et de prises de positions individuelles ou minoritaires.
Les turpitudes constatées de la part de certains camarades, à la suite des choix opérés soit lors des nominations aux portefeuilles ministérielles soit lors des investitures sur les listes législatives, ont dévoilées au grand jour leurs viles motivations. Heureusement cet état de fait ne constitue nullement une exception socialiste. Dans ce registre le camarade Malick Noel Seck, toujours prompt à céder à toutes tentations furent-elles carcérales pour assouvir un désir immodéré de célébrité, a fait preuve d’une insolence inégalée à l’endroit du Secrétaire général du Parti Socialiste. L’ère des maîtres chanteurs, toujours déterminés à faire feu de tout bois pour assouvir leurs basses et minables ambitions, est révolue. Notre parti ne saurait être le terreau fertile de tels énergumènes mus par leurs seuls intérêts. Le mérite ne s’accommode point de chantage, seul l’élégance du désintéressement est capable de procurer le bonheur de sa jouissance. Cette sortie malheureuse de notre ex-camarade qui s’est auto exclu du parti socialiste, dénote d’une pathologie dont souffre cette race d’hommes aux ambitions si démesurées et maladroites qu’ils sont toujours amenés à danser plus vite que la musique. La paranoïa qui les frappe, les pousse à des actes désespérés que ni la raison, ni la saine ambition ne justifie.
S’il y a un parti qui, malgré les soubresauts et les vaines tentatives de déstabilisation subies en une décennie, a toujours triomphé de ses adversités c’est bien le parti socialiste. Cette exceptionnelle prouesse, nous la devons à un homme qui s’est échiné à maintenir courageusement le flambeau qui ployait sous le poids de la trahison et de l’ingratitude. Un homme qui a refusé que la flamme de l’espoir ne s’éteigne entre ses mains, alors qu’il avait en face de lui un parti libéral au pouvoir déterminé à lui faire subir les affres de la déchéance. Et malgré tout, il a tenu bon. Cette jeunesse valeureuse du parti que nous représentons, n’acceptera jamais que l’opprobre et l’anathème soient jetés sur notre Secrétaire Général. Le mouvement national des jeunesses socialistes renouvelle sa confiance au camarade Ousmane Tanor Dieng et reste déterminé à toujours l’honorer dans cette entreprise électorale des législatives à venir.
Nous en appelons à plus de sérénité et de dépassement de la part de l’ensemble des camarades. Notre priorité actuelle est d’œuvrer à la victoire éclatante de notre coalition au lendemain du scrutin législatif. Que ce soit dans les villes ou dans les campagnes nos camarades jeunes se mobiliseront pour ce seul et unique objectif du moment, afin de donner au Benoo Bokk Yakaar et au gouvernement du Président Macky Sall une majorité confortable à l’assemblée nationale.
Notre partenariat est une réalité vécue, la sincérité de notre engagement un sacerdoce !
Merci de votre aimable attention !
Maguette Sène : «Je n’ai pas démissionné de l’Apr»
