Vouloir bénéficier d’études de qualité peut être très difficile pour certains. C'est le cas du prévenu Djiby Diallo qui s’est lancé dans la pratique de faux billets pour poursuivre ses études coraniques au Maroc.
À cet effet, il a réuni une somme de 100 000 francs qu'il a remise au nommé Ibrahima Diallo pour obtenir le triple de la somme remise, mais en faux. C'est ainsi qu'il a présenté le sieur. Alassane Diallo au vendeur de faux billets. Ils ont été tous arrêtés par les éléments de la section de recherches.
Devant la barre, Ibrahima Diaw avoue que c'est Djiby Diallo l’a mis en rapport avec Alassane Diallo pour un marché. Et il m'a remis un montant de 100 000 de nos francs en échange d'une somme de 300 000 francs Cfa en faux. Des allégations que le prévenu Alassane Diallo a confirmées lors de son interrogatoire à la barre. Quant à Djiby Diallo, il a fait savoir que c'est Ibrahima Diaw qui l'a appelé pour lui faire part de son business tout en ignorant les tenants et les aboutissants dudit business. Vu la constance des faits, le maître des poursuites a requis 6 mois d'emprisonnement ferme contre tous les mises en cause.
Pour sa part, Me Djiby Diagne, avocat de Djiby Diallo a tenu à préciser que même si les éléments de la section de recherches disposent de machines qui permettent d’établir que les billets sont faux, c’est à la banque centrale d’en donner la certitude. Selon la robe noire, il n’y a pas d’association de malfaiteurs et la seule infraction qui pourrait être retenue, c’est la détention et la circulation de faux billets. Sur ce, il sollicite la relaxe de son client.
Me Amadou Aly Kane, avocat de Alassane Diallo, a rappelé que son client n'est pas un fabricant de faux billets. "Il a seulement voulu accomplir son rêve de poursuivre ses études au Maroc. Mais il n'avait pas les moyens", a souligné l'avocat qui sollicite la relaxe de son client pour le délit d'association de malfaiteurs afin de lui faire une application bienveillante de loi pénale.
Finalement, le juge les a tous déclarés coupables et a condamné Ibrahima Diaw à 2 ans dont 6 mois ferme et 4 mois ferme pour ses co-prévenus.
À cet effet, il a réuni une somme de 100 000 francs qu'il a remise au nommé Ibrahima Diallo pour obtenir le triple de la somme remise, mais en faux. C'est ainsi qu'il a présenté le sieur. Alassane Diallo au vendeur de faux billets. Ils ont été tous arrêtés par les éléments de la section de recherches.
Devant la barre, Ibrahima Diaw avoue que c'est Djiby Diallo l’a mis en rapport avec Alassane Diallo pour un marché. Et il m'a remis un montant de 100 000 de nos francs en échange d'une somme de 300 000 francs Cfa en faux. Des allégations que le prévenu Alassane Diallo a confirmées lors de son interrogatoire à la barre. Quant à Djiby Diallo, il a fait savoir que c'est Ibrahima Diaw qui l'a appelé pour lui faire part de son business tout en ignorant les tenants et les aboutissants dudit business. Vu la constance des faits, le maître des poursuites a requis 6 mois d'emprisonnement ferme contre tous les mises en cause.
Pour sa part, Me Djiby Diagne, avocat de Djiby Diallo a tenu à préciser que même si les éléments de la section de recherches disposent de machines qui permettent d’établir que les billets sont faux, c’est à la banque centrale d’en donner la certitude. Selon la robe noire, il n’y a pas d’association de malfaiteurs et la seule infraction qui pourrait être retenue, c’est la détention et la circulation de faux billets. Sur ce, il sollicite la relaxe de son client.
Me Amadou Aly Kane, avocat de Alassane Diallo, a rappelé que son client n'est pas un fabricant de faux billets. "Il a seulement voulu accomplir son rêve de poursuivre ses études au Maroc. Mais il n'avait pas les moyens", a souligné l'avocat qui sollicite la relaxe de son client pour le délit d'association de malfaiteurs afin de lui faire une application bienveillante de loi pénale.
Finalement, le juge les a tous déclarés coupables et a condamné Ibrahima Diaw à 2 ans dont 6 mois ferme et 4 mois ferme pour ses co-prévenus.